En ce dimanche, ce fut tout d'abord, l'accueil de Delphine, qui d'ailleurs a été ravie de la randonnée. Nous étions 5.

Départ de Logibar, sur le parking de la rando menant à la passerelle d'Holzarté. Nous avons suivi le GR 10 vers le nord-ouest en longeant la lisière sud du bois d'Etchelu jusqu'à un petit sommet (930m), au nord de Larrau. Passage par Ozoskia et Uthuribur.

Temps bien froid, gants chauds obligatoires, quelques rayons de soleil, notamment pendant la halte, bonne remise en jambes. Superbes panoramas sur Iraty, Orhy et le Pic d'Anie enneigés.

Carine / Patrick.

S'il y a une chose qu'il ne faut pas changer, ce sont nos bonnes habitudes ou jugées comme telles d'où notre sortie au Pic d'Escurets. Nous sommes partis du Col de Marie Blanque (1035m) par un temps relativement beau, une température exceptionnelle, tout à priori pour marcher agréablement. Le parcours très bien balisé nous fait démarrer à côté de la stèle rendant hommage aux Républicains Espagnols venus soutenir les résistants du maquis d'Oloron. Passage en sous-bois par une piste un peu raide au départ mais qui s'adoucit par la suite. Arrivés à un panneau directionnel, il n'y a plus qu'à suivre les cairns et le balisage jaune pour retrouver le sentier qui débouche sur un petit col (1138m). Il monte en longeant une petite crête en direction d'un mamelon pour partir ensuite sur la gauche. Nous suivons toujours la direction du Pic d'Escurets, pic que nous atteignons au bout de 1H30. Belle vue à 360° sur la plaine de Rébénac, les différents villages d'Ossau, Oloron...mais la brume nous empêche de bien les discerner ainsi que toutes les montagnes. Un retour en boucle, nous ramène à Marie Blanque.

Il s'agissait d'une belle balade que nous devons à Richard. Merci.

Katy.

Sortie à Okabé du 8 Novembre 2014.

Quelques photos pour l'illustrer.

Journée d'été pour cette fin octobre, nous sommes 6 au départ de Saint Palais et 7 pour la randonnée, Hélène nous rejoindra à Mendione, notre départ. En attendant, quelques uns d'entre nous en profite pour admirer l'église et à l'intérieur les jolies peintures au plafond, représentant des scènes de la vie quotidienne. Nous laisserons les voitures près d'une aire de pique-nique.départ sur une piste bien balisée, nous foulons la route napoléonienne; Cette route doit son nom aux guerres de l'époque de Napoléon (1813-14) mais elle est beaucoup plus ancienne. C'est la grande voie de communication pour se rendre à l'ouest vers la côte et à l'est vers l'Espagne. Toutes les communes du Labourd devaient participer à son entretien. Bien que située à 4 km du bourg, la portion située au niveau d'Ursuia était entretenue par les habitants d'Hasparren. Toutes les armées ont emprunté cette route,et notamment les romains qui l'utilisaient déjà au 3ème siècle. C'est la seule route départementale non bitumée; nous avons trouvé, en la parcourant, un tronçon reconstitué en pavé, croisé de nombreux pottock et admirés les villages basques

Entourés de nombreux marcheurs et de familles venus, comme nous profiter, de ces belles journées (il existe une belle variété de circuits plus ou moins longs) nous faisons le tour de cette moyenne montagne et pique-niquons près du camp protohistorique avant d'en gravir le sommet où nous découvrons ce merveilleux panorama: depuis la côte basque jusqu'aux montagnes pyrénéennes. Pendant la descente, nous nous sommes fait doubler par un "jeune" cabri de 72 ans: Beñat quelle forme physique!!! Belle journée, bon bol d'air. Merci à Richard pour ce joli parcours. 

Marie Paule

Beau temps, l'idéal pour cette randonnée: les gorges nous protégeront du vent du sud!

Départ de Saint Engrace, montée progressive, très bien balisée, le long des gorges (nous aurions du compter le nombre de fois que nous traversons, à pieds secs, le lit du torrent).

Dans le bois, bien ombragé, la mousse est partout. Lors de belles trouées, nous découvrons ces falaises abruptes et impressionnantes de Ganaguèrre et d'Amakunka. Le chemin, aujourd'hui bien sec, tantôt en pierrailles, tantôt de terre, sous bois ou bien dégagé, bref, varié et qui progresse de façon régulière avant d'arriver à la grotte de Molerse. Tout en haut un passage, près de la cascade, nous oblige à nous aider des mains. Puis nous laisserons le balisage vers Utzigagna, pour partir tout droit. 

Arrivés au plateau, la pose repas est la bienvenue. Une petite leçon de cartographie pour Carine, et la sieste pour d'autres, nous reprenons le chemin de retour vers le cayolar de Ganaguerre, récemment restauré. Pas de balisage mais avec une carte et une boussole, Richard nous mènera sans encombre au cayolar que nous visiterons; c'est du beau travail bien fini: joli toit en bardeau, les anciennes lauzes servent pour l'écoulement des eaux de pluie, mais la porte est très basse, il faut donc encore un peu de souplesse pour y pénétrer, à l'intérieur la cheminée ne déparerait pas dans un petit salon, les bas-flans sont fonctionnels. Nous arriverons à Saint Engrace par, là aussi, des sentiers très variés: herbeux, sous bois, pierreux. La descente est raide, assez longue, et nous retrouvons les voitures après 14km et 6h40 de marche en comptant les poses pour attendre la retardataire!...

Une très belle balade par un temps idéal digne d'un mois de Juillet. Merci à Richard

Marie Paule

Il pleuvait sur St Palais, sur Mauléon mais pas...à Arette! N'en déplaise à certains, le Béarn et en particulier la Vallée de Barétous a du bon... Nous avons pris la direction du Col de Lie et nous sommes arrêtés au niveau de la Ferme Moulia. Piste plutôt agréable, caillouteuse, parfois herbeuse mais bientôt, nous la rencontrons boueuse! Il s'agit à ce moment là de bien viser les cailloux affleurant à la surface, mais, parfois inexistants d'où quelques chaussures difficiles à extirper de la "gadoue"! Dieu merci, nous avons l'eau courante donc "no problem"... Il existe sur la piste, une croix au niveau de laquelle nous devons prendre une sente sur la gauche. Mais, tellement focalisés sur nos pieds, nous ne l'avons pas vue! Peu importe, nous trouvons un cairn plus haut et c'est parti pour une bonne "grimpette" afin de rejoindre le plateau. La vue de là-haut est époustouflante et quitte à me répéter, j'ai encore plus apprécié MA vallée. Pause casse croûte, discussions entre hommes sur les différents mérites des marques de moto (j'ai cru comprendre que BMW était la meilleure...). Retour par le même sentier ou presque car nous sommes arrivés "pil poil" sur la fameuse croix!! Petite rando peut-être (4H) mais agréable journée en agréable compagnie.

Katy.

Une belle journée d'automne très ensoleillée pour cette randonnée aux Trois Croix. Comme je l'avais indiqué lors d'une précédente balade dans ce même lieu, c'était un but de rogations. Mais pour nous, point de sollicitations ni de protections à demander, simplement le plaisir de se retrouver. Quelques kilomètres après Licq, nous prenons un petit chemin sur la droite et nous garons. Départ sur route cimentée pour rejoindre un panneau directionnel nous indiquant "Ste Engrâce 1H". Passage dans le bois, arrivée sur le long sentier surplombant la rivière et la route de Ste Engrâce...personnes sujettes au vertige, s'abstenir!. Cahin-caha, nous arrivons à la barrière dont un panneau nous indique le sentier Merkatubidea et progressons vers le col des Trois Croix que nous joignons au bout de 3H. Pause au soleil pour les uns, à l'ombre pour les autres, petite sieste et retour par le même itinéraire. Merci au "guide" Pierre pour cette longue et belle rando.

Katy.

Le vendredi c'est (ou c'était) "Jour de poisson", en ce vendredi, c'était "Jour de Gabedaille"!  Départ des "Forges d'Abel". Pour les non initiés, il s'agit d'un hameau de Borce aujourd'hui à l'abandon. Il accueillait la gare internationale des Forges d'Abel, première gare de la ligne Canfranc-Pau, vers la France. "Les Forges d'Abel" étaient une petite usine sidérurgique qui fut modernisée et exploitée par Frédéric d'Abel, un maître de forges, originaire de Stuttgard, entre 1828 et 1850.

Nous commençons notre rando en passant à côté de la cascade d'Espélunguère et traversée du bois du même nom. Sortie du bois et lorsque le sentier franchit une croupe, nous pouvons voir la cabane de Grosse et ses troupeaux de brebis encore parqués. En poursuivant notre marche, nous passons à côté de la cabane Caillabère et à partir de là, nous dirigeons vers le Col de Coueq (ou col de Contende). Une magnifique vue du Castillo d'Acher jusqu'à Ansabère s'offre à nous. Après passage du col, progression vers le sommet du Pic de Gabedaille où nous dominons le Lac d'Estaens et la vallée d'Aigue Torte. Quelques rafales de vent plutôt "frisquet" nous obligent à abréger notre pause déjeuner et malgré les nuages accrochés aux différents monts, la vue est magnifique. Retour en boucle par "l'escalé d'Aigue Torte". Belle balade (6H) que nous devons à l'initiative de Patrick. Merci à lui.

Katy.

Petite visite impromptue (qui justifie, si besoin était, la non parution dans "dernière minute"), au Trone du Roi déformation de son appellation en béarnais de "petit pic dominé par les vents". Le point de départ était à Sarrance pour rejoindre Bordenouve de Pélut (850m). Ne pas se fier à la faible altitude toute relative du Pic (1266m) car à partir de là, la montée est rude... Quelques photos pour illustrer notre périple de 860m de dénivelé, 4H30 de marche et les différents points de vue depuis le sommet.

Katy.

Mauléon, ciel couvert. La météo a oublié de préciser qu'il fallait s'élever au-dessus des nuages pour profiter de ce beau ciel bleu!!!

Nous ferons donc une petite incursion en Espagne, dans la vallée de Roncal, pour démarrer au col d'Errayé, à la borne frontière 256, nous nous retrouvons très vite à suivre la ligne de crêtes qui fait office de frontière, avec la vallée de Barétous sous les nuages et celle de Roncal bien dégagée. Nous profiterons de ce paysage toute la journée.

Un troupeau de moutons a envahi la vallée, les chevaux prennent possession de la route; pour les animaux c'est la liberté partout, car, depuis 1375, les représentants des vallées françaises du Barétous et espagnoles de Roncal ont conclu un accord de lies et passeries, fréquents dans les Pyrénées, visant à réglementer l'usage des prairies. Depuis, la cérémonie du tribut des trois génisses a lieu chaque année, le 13 juillet, autour de la borne 262 du col de la Pierre Saint Martin. Les élus des 2 vallées perpétuent le rituel de l'accord transvalléen, fixent les usages pastoraux de la montagne et apposent leurs mains sur la borne en jurant "Paz abant": la Paix avant tout. En remerciement de leur hospitalité, les bergers du Barétous offrent alors 3 génisses à leurs homologues espagnols

Arrivés au col, nous nous dirigeons vers le sommet qui nous semble le plus élevé mais... il ne faut pas se fier aux apparences: nous sommes sur le Vertice Lakoré (1843m) reste à faire le Lakhoura en face à 1877m, sans difficulté.

Retour par le même itinéraire et, .... un bon petit repas à la venta Juan Pito pour terminer cette belle matinée.

Marie Paule

Départ du Col de Mehatzé. Montée vers le premier sommet en suivant l'alignement des postes de chasse où l'on croise brebis, vaches et chevaux. Passage à côté du chalet de chasse et bien au-dessus du Cayolar de Soule. Direction les crêtes de Millagaté où laissons un cromlech sur notre gauche. Nous apercevons au passage, les cayolars d'Orgambidia et d'Ibarrondoua. Progression au travers les pâturages et rochers vers Zazpigain dont les crêtes sont à arpenter avec précaution, ce que nous ferons. De prime abord, l'Orhy était prévu mais le vent souflant parfois en rafales nous en a dissuadés. C'est à Zazpigain et après avoir vu plusieurs randonneurs faire demi-tour que nous décidons de nous poser un moment et d'admirer le magnifique paysage qui se déploie devant nos yeux.

L'Orhy ce sera pour une prochaine fois, c'est sûr!!

Katy.

L'intitulé du titre peut peut-être porter à confusion...ne vous y fiez pas, nous avons aussi bel et bien marché! Nous sommes partis de l'auberge d'Ahusqui pour passer à proximité des cayolars de Naboléguy, un peu plus loin Olhatzezarre et encore plus loin (Hé, oui!) Héguilloré pour terminer au cayolar d'Udoya niché au fond d'une doline. Pour les grillades, "nos" hommes se sont occupés de tout... A la fin de nos agapes un peu arrosées (ce n'était pas la pluie, pour une fois!) descente sur Potcho où nous avions pris soin de laisser une voiture. Journée des plus sympathiques que nous devons à notre non moins sympathique Richard. Merci à lui.

Katy.

Enfin ,le soleil est annoncé pour cette journée. Départ matinal, 1400m de dénivellé sont au programme avec, heureusement, possibilité d'arrêter l'ascension à plusieurs endroits: soit à la cabane d'Anaye (1520m), ou aux sources de Marmitou (1848m), ou au col d'Ourtets (2150m), ou à celui  de Lhurs (2300m) ou carrément au sommet de la Table des 3 Rois (2421m).

Départ rapide du Pla de Sauchèse (1081m) où il y a peu de voitures ce matin. Pierre mènera un train d'enfer tout au long de l'ascension; les premiers 200m sont avalés en 1/2h. Mais, ensuite, nous prenons le temps de souffler et/ou de prendre quelques photos; avec son esprit de groupe, il sera obligé de nous attendre souvent.

Le sous- bois succède au chemin caillouteux, puis nous foulons l'herbe verte du paturage au niveau du cayolar où paissent tranquillement, brebis, ânes et même 3 cochons; au retour, le berger est en pleine traîte manuelle des brebis.

Les gros blocs de calcaire , les falaises blanches et les différents sommets connus comme le Billare et le massif du pic d'Anie: c'est là, la vallée d'Aspe. Nous laisserons aussi un énorme pluviomètre sur notre droite, Qui vient faire les relevés ici? Ensuite, après les sources de Marmitou, ce sont les pierriers que nous traversons et nous terminerons notre périple par les lapiaz au col d'Ourtets. Le pique-nique sera d'un bon réconfort. Pendant que, quelques uns se reposent ou parlent moto, nous découvrons la flore locale abondante dans les rares parties herbeuses.

La descente se fera par le même chemin mais à l'arrivée nous pourrons constater que le pla de Sanchèse est très fréquenté en cette période de vacances.

Belle randonnée aux paysages et chemins variés.

Bien nous a pris de nous arrêter au col, car avec la route, c'est au bout de 12h30 que nous retrouvons notre bercail.

Merci à Richard pour cette bonne journée.

Marie Paule

Pas facile de trouver un créneau pour randonner en toute quiétude avec cette météo à la noix! Comme il n'y a pas de programme pré-établi, nous jonglons donc entre averses et soleil parfois timide et parfois excessif. En ce jour, c'était donc la Cabane d'Ichéus et celle de Camplong au départ du Col de Bouésou. Cheminement par la piste puis par les raccourcis la coupant, avant de gagner le bois avec un oeil (et même les deux, à y être!) trainant à la recherche de cèpes mais ...rien sauf un où Dame Limace s'en était donnée à coeur joie! Arrivée sur le plateau d'Ichéus, qui, en temps normal offre une vue imprenable sur les montagnes environnantes mais, la brume accrochée à elles, ne nous les laisse que vaguement deviner! Petit arrêt à la Cabane d'Ichéus avant de prendre le sentier qui nous mène à Camplong après une petite heure de marche. Décor karstique du à la proximité du Massif de la Pierre St Martin et des Arres d'Anie, longue prairie où paissent troupeaux de vaches et brebis. Pause repas à la Cabane de Camplong, sieste au soleil progressivement caché par les nuages. Retour sur Bouésou par le même itinéraire. Il est à noter que nous n'avons pas eu de pluie ... étonnant, non?

Katy.

Le beau temps est annoncé, ça y est, Patrick nous emmène au Mendibel! 900m de dénivellé sont annoncés.

Sur le parking à la chapelle Saint Sauveur, il nous informe:" Rassurez-vous, j'ai trouvé une autre boucle pour éviter le passage difficile et les champs de fougères..."

Donc, d'un pas décidé nous nous mettons en route, effectivement c'est très facile nous commençons par une sacrée descente sur piste pour arriver à environ 850m, donc petits bavardages de retrouvailles après ces vacances, ces intempéries ou autres tel que des travaux à effectuer chez le "chef" de rando. Mais...il va nous falloir tout remonter, et même plus, pour arriver à ce sommet qui s'est fait désirer (x fois remis pour mauvais temps)

Nous n'irons pas jusqu'au cayolar de Gahalarbe mais nous commencerons une montée "en direct" dans la fougère, dans l'herbe, et dans la roche pour arriver soit à cet arbre isolé ou au pied de cette barre rocheuse bref, plusieurs fois, nous serons toujours à 200m de dénivellé de ce sacré sommet,et poutant nous montons toujours; pourquoi? je ne sais pas!

Après le passage de cette portion rocheuse, je crois voir notre but mais comme souvent en montagne, il y a encore à monter derrière ce mamalon et un et 2 enfin nous reconnaissons le Mendibel (1411m) où les chevaux nous attendent.

La descente sera rapide, conforme à ce que nous attendions, au col de Burdincurutcheta (1135m), nous remontons un peu pour éviter le macadam .

Bref une bonne journée où nous ne nous sommes pas génés pour "mettre en boite" notre responsable de journée

Merci à lui.

Marie Paule 

Un petit supplément historique: sur "la forêt d'Iraty" parue chez Atlantica

En 1927, alors qu'une scierie s'installe à Mendive, un industriel landais et son frère vont relier le plateau d'Iraty à Mendive par un câble de 13km de long qui acheminera le bois dans la vallée. Au câble principale, déployé sur 3,5km, sont rattachés plusieurs câbles secondaires traversant la forêt, en Cize comme en Soule.

L'exploitation de la forêt débute vraiment. On commence à ouvrir des pistes pour les mulets et les boeufs. La "compagnie d'Irati" fait appel à une importante main-d'oeuvre, principalement basque-espagnole pour l'abattage à la hache et au passe-partout, et italienne pour la maintenance des câbles.

Interrompue pendant la crise économique de 1934, l'exploitation du câble reprit paradoxalement sous l'occupation allemande de 1940 à 1944 et favorisa de nombreux passages en Espagne, aussi bien d'hommes que de contrebande.

En 1955, à la fermeture de la scierie de Mendive, le câble cessa de fonctionner.

Petite séance de rattrapage en ce lundi sur Inchouriste et Chapeau du gendarme. Il s'agissait en effet de profiter du soleil avant qu'il ne nous "pose un lapin" à nouveau. Je confirme, il l'a fait! Pour Inchouriste, départ au niveau de Haux, passage par les bois via le Col de Baralzague et redescente en boucle pour retrouver une partie du sentier de l'aller. Pour le Chapeau du Gendarme, départ depuis Licq pour également une rando en boucle. L'air de rien, environ 5H de marche pour 700m de dénivelé en cumulé. Vivement le soleil pour de vrai!

Katy.