Richard a eu la très bonne idée de nous amener faire le Baïgura en partant de la base de loisirs située Route de Louhossoa à Hélette. Nous avons pris la piste à droite après le parking qui nous amène sur "le sentier découverte", découverte pour nous dans tous les sens du terme vu que c'est la première fois que nous rejoignons le Baïgura depuis là. Nous suivons le balisage jaune et après 600m, première montée un peu rude (avec escalier et main-courante). Rude peut-être... mais pas pour Jason qui nous devance allègrement!! Au croisement situé au bout d'environ 930m, on prend à gauche, on traverse la route et on rejoint une bergerie. On continue sur le chemin découverte qui est jalonné de loin en loin de panneaux explicatifs sur la faune, la flore, les us et coutumes, l'environnement...La vue sur toute la région tant sur les nombreux villages, montagnes de l'intérieur du Pays Basque jusqu'à l'océan est époustouflante...

Cahin caha, nous rejoignons le Mont Erregelu avec toujours en point de mire le Mont Baïgura et sa "couronne" d'antennes. Après 3H de montée, nous nous arrêtons pour grignoter.

Le retour se fait en boucle, via la bergerie croisée au départ, vers la base de loisirs. Au final, ce seront 550m de dénivelé, 4H de marche et une très agréable journée partagée.

Katy.

Pour cette sortie vers le Sudou, Patrick, toujours à la recherche de nouveaux itinéraires, nous a fait partir du quartier Espartite à Barlanès. C'est donc une rando hors des sentiers battus que nous avons fait en ce lundi de Pentecôte. Temps plutôt beau et chaud mais froid et venteux à l'approche du sommet du Sudou d'où pause rapide et redescente en boucle vers les voitures. Merci à Patrick pour la variété des sentiers empruntés et bienvenue à Joane.

Katy.

Après un départ pour les uns de Mauléon et pour les autres des environs de St Palais, nous nous retrouvons à environ 4km au  SE de St Just Ibarre, sur le parking du hameau d'Arla (248m). Le parcours commence à plat le long de la Bidouze sur 2,5km, puis nous franchissons un petit pont (balise bleu-jaune), changeons de rive et c'est là que les choses sérieuses commencent...La pente se fait raide, le sentier caillouteux, semé d'embuches, du moins à l'approche de la grotte, par des troncs d'arbres en travers. Faut pas exagérer, c'est quand même pas la galère, mais un bon exercice façon "parcours du combattant" dans cette forêt des Arbailles. Après 2H de marche, nous arrivons en vue des sources de la Bidouze (680m) qui descend en cascades vers la vallée. 

Nous avons croisé à la montée, un sentier marqué d'une croix jaune, vers lequel nous redescendons car il nous amène vers Etchecortia. C'est reparti pour une nouvelle grimpette vers le Col de Gategorena (816m) que nous atteignons après avoir emprunté à gauche, à l'arrivée à la bifurcation, un sentier (pierre marquée bleu-jaune) plutôt horizontal. Après 1h30 de marche depuis la grotte, nous arrivons dans une clairière en vue du cayolar et du Pic d'Etchecortia. Pour l'instant, nous nous dirigeons vers un petit laquet, caché au fond d'une doline (petite surprise de Richard;...) afin de grignoter un petit truc et surtout de nous mettre à l'abri du vent très sauvage et froid!

Après une 1/2H de pause, nous montons vers le cayolar afin d'emprunter la piste nous amenant au Col de Napale (539m). A partir du col et après 1km sur route bitumée, nous prenons à gauche un large sentier et au niveau d'une vieille borde, nous enfonçons (au sens littéral du terme!!) dans la forêt en écartant la végétation, et à nouveau "parcours du combattant"!! car bien que marqué sur la carte, le sentier ne doit pas être souvent utilisé. Cahin, caha, nous arrivons au niveau d'un pré que nous traversons pour arriver à la ferme Gathulu.

Le parking est à une centaine de mètres (chouette, ça descend!) et voili, voilou, c'est fini... et au final c'était un très bon exercice (durée 5H30) sur sentiers très variés. A plus.

Katy.

La pluie est annoncée et...elle est là!!! Mais les courageux,ou devrais-je dire les gourmands sont présents au rendez-vous, en effet un repas est prévu au col d'Ispéguy avant la fin de la descente.

Nous avons le plaisir de retrouver Jean, Edouard et Cathy L, pour cette rando, c'est donc à 12 que nous nous rendons à Saint Etienne, un petit café en attendant la fin d'une averse, et en route vers le point de départ. Là surprise: les"revenants"hésitent à se mettre en route par ce mauvais temps et préfèrent aller visiter l'élevage du porc basque aux Aldudes, où ils seront très bien reçus.

Départ sous un rayon de soleil, mais,nous nous sommes bien équipés, et partons sur le GR10 vers les cols de Buztanzelhay et d'Aintziaga, en passant par celui d'Apatoy.

En route,pas de pluie mais quelques averses de petits grêlons qui ne pénètrent pas nos vêtements. Donc une belle rando, le vent,côté espagnol, après le col d'Aintziaga était un peu plus violent mais nous avons résisté et sommes arrivés au col d'Ispéguy où nous avons retrouvé les 3 amateurs de porc basque et Gabrielle qui accompagnera les chauffeurs.

Après un bon repas très copieux,descente en plus petit nombre encore,car les chauffeurs ont proposés d'avancer les voitures et nous éviter ainsi, toute la traversée du village sur le macadam.

Nous avons fait une partie de la descente encadrés par 6 ânes en liberté sur ce chemin, ils ont suivi notre rythme!

Marie Paule

"Vive le vent, vive le vent" "vive le vent d'hiver" "Qui s'en va sifflant, soufflant" "Dans les grands sapins verts"... Il s'agit d'une comptine qui est souvent fredonnée à Noël. Malgré le fait que nous soyons au printemps, ceci aurait pu s'appliquer à ce dimanche on ne peut plus venteux sur les crêtes à la rencontre du Pic de Salhagagne. Pour cette rando en boucle, nous sommes partis au-dessus de la route de Licq/Larrau, du quartier Artéquilla. Après 20mn de marche sur une route bitumée, nous la quittons à proximité de la ferme Ligueix par un sentier qui amène à repasser au-dessus de la même ferme. Ensuite, ben, y a plus qu'à monter à travers une grande et pentue prairie tout d'abord, descente et remontée dans un bois, puis par des sentiers divers et variés arrivée au sommet prévu (1053m). Nous n'y faisons qu'y passer et non y séjourner car le vent est vraiment très fort et de ce fait désagréable. Après donc 2H30 de montée, petite descente vers une piste, que nous prendrons pour le retour, afin de nous mettre un tant soit peu à l'abri et comme il fait faim, vous connaissez la suite!. Retour donc par une longue crête, jusqu'à 800m, puis descente raide vers le Col de Buscoy (700m) après avoir traversé un petit ruisseau. Le vent toujours à nos trousses, voilà qu'une averse s'en mêle... de courte durée heureusement et nous rejoignons les voitures après 2H de descente, 9 Km et 750 m de dénivelé.

Arrêt à Tardets pour un pot et admirer quelques "panhard" d'époque.

Muchas gracias Patrick y hasta pronto. Bravo encore une fois à notre petit Jason pour son endurance.

Katy.

Patrick qui aime découvrir, et nous aussi d'ailleurs, nous a amenés au Jara via St Etienne de Baïgorry quartier Otikoren. Otikoren était un hameau médiéval avant de devenir quartier; stationnement près du ruisseau du même nom. Nous passons, à 450m,  à proximité de la bâtisse Aldaberzeko Borda et d'une vigne que l'on retrouvera au retour puis à 540m à côté de Jaxlépoko Borda. A cet endroit là, nous franchissons une clôture pour accéder à la prairie, montée pour rejoindre la longue crête qui mène au Jara. En remontant la crête, on rejoint les deux derniers lacets d'une piste qui vient du Nord et monte en zig-zag, appelé "chemin du génie" car il a servi, sous Napoléon III, à monter le matériel de guerre en haut du Jara, point stratégique. Arrivés là-haut, comme le vent n'est pas des plus agréables, nous redescendons nous mettre à l'abri pour grignoter. Toujours sous l'égide "del jefe", descente vers le Sud pour faire une boucle en passant par le bois de Irazelhaïkolépoa où la présence de plusieurs ruines et de plusieurs parcelles délimitées par des murets en pierre nous ont fortement intrigués (époque médiévale?). Nous rejoignons le chemin de l'aller à 450m et parcourons la vigne au travers de ses terrasses, retour vers nos voitures en longeant le ruisseau Otikoren.

Pour info : l'appellation Irouléguy s'étend sur 240 ha et une quinzaine de communes.

Au total, 4h30 de marche, 700m de dénivelé, 11km et...très (puissance5)! belle et agréable rando.

A plus...

Katy.

Beau temps et chaleur annoncés

départ d'Ossès, mais nous nous dirigerons vers le Baïgura avant l'Halzamendy, bref en sens inverse par rapport aux autres balades effectuées sur ce massif.

Enfin, il fait beau!, nous en profitons pour suivre Richard dans ce coin de la Basse Navarre. Mon propos va être relativement succint car nous avions déjà fait cette randonnée le 9 Mars 2014 (Revue des balades-1) et nous avons suivi le même itinéraire parfaitement décrit par Marie-Paule.

Quelques nuances tout de même car nous n'avons eu que très peu de vent et une journée ensoleillée digne d'un mois d'avril ou du moins souhaité comme tel!. D'ailleurs, les nombreux vols de grues aperçus, nous laissent augurer d'un printemps précoce... croisons les doigts!

Quelques chiffres : 849 m de dénivelé cumulé, 12,7 Kms et 5 H de marche. En conclusion, belle balade, belle journée, bonne compagnie ...merci Richard.

A plus sur les sentiers.

Katy.

Pourquoi découverte? Tout simplement il s'agissait pour nous tous d'une "première" que nous avons effectuée grâce aux bons offices de Patrick. Premier rendez-vous à Mauléon pour Richard, Sally, Carine et Patrick, deuxième à Oloron pour les deux Katy puis "roule ma poule" (!) vers la Vallée d'Ossau. Le départ de cette rando se fait depuis le Port de Castet, passage par le bois de Labétet sur une piste. Sortie du bois (1021m) et arrivée par une petite descente à l'abreuvoir de Lourziou (1008m). A ce niveau là, nous prenons à gauche de l'abreuvoir par des sentiers plus ou moins marqués qui ressemblent plus à des  sentiers de vaches d'ailleurs et qui nous amènent jusqu'au niveau d'une clôture (1250m). Nous allons la suivre et çà  grimpe bien! jusqu'à rejoindre la crête (1460m). Direction l'est pour suivre cette crête jusqu'au sommet du Pic Seserite (1588m)...2H45 de montée pour 750m de dénivelé et 6 km. Petit arrêt de 15mn pour nous substanter car le vent souffle fort et il n'est pas chaud pour ne pas dire très froid! Nous redescendons par le vallon pour rejoindre une piste qui nous amène vers l'abreuvoir de Lourziou où nous retrouvons le sentier de ce matin via  Port de Castet par le bois de Labétet.

Nous avons beaucoup apprécié cette rando (big merci Patrick!) qui offre un panorama extraordinaire tout au long sur les différents monts d'Ossau mais aussi bien au-delà.

Arrêt à Louvie-Juzon pour un pot accompagné des crêpes de Cathy Belleau pour une "chandeleur" avant l'heure mais ô combien appréciées!

Katy.

Mme Météo nous avait promis du soleil, mais ça, c'était 2 ou 3 jours avant... La veille au soir, il pleuvait plein mais après un coup de fil à Patrick me rassurant sur la présence de permanents (et non de stagiaires!) au siège de Météo France, la pluie devait s'arrêter dans la nuit... Ce fut le cas, et nous étions donc 9 (+ 2 compagnes à 4 pattes) à suivre Richard dans cette rando. Nous sommes partis de Lourdios (425m), par une montée un peu glissante ma foi, puisque passage sur de la marne qui est une roche sédimentaire et "sa sensibilité à l'eau favorise les instabilités de pente" (Wikipédia) donc prudence! Nous rejoignons une route goudronnée qui ensuite se prolonge par une longue piste qui passe par la fontaine de Courneau (623m), puis le Tos de la Coustette (686m). A ce moment-là, nous la quittons pour prendre un sentier qui nous amène par la crête de Saudalate (941 à 1002m) jusqu'au Col de Saudarie (963m). Nouvelle piste jusqu'au Col de Launde (959m). Suivant toujours Richard, nous trouvons le sentier qui par descentes et montées nous amène jusqu'au Col d'Isson  (1074m). Comme il fait un peu, beaucoup faim, 4 d'entre nous, nous arrêtons là .Nous rejoignons le reste de la bande un peu plus tard juste au moment du partage du chocolat Ouf!!, au Col de Napach.

Quelques temps plus tard, redescente vers le Col de Launde et là...entorse pour M.Paule! que nous espérons retrouver très vite avec bon pied...bon œil! Mike et Richard partent récupérer les voitures (merci à eux) car, nous sommes encore loin de Lourdios et solidaires de M.Paule, nous les attendons au Col de Launde et au soleil....

J'ai failli oublier la performance de notre petit ami Jason (7 ans) qui a quand même fait 5H de marche et 800m de dénivelé. Un vrai petit montagnard!

Journée qui s'est terminée autour d'un pot à Arette et les trop, trop bonnes merveilles de Caty Belleau.

Katy.

En ce samedi ensoleillé et atypiquement doux, nous étions un à 7H45, puis trois à 7H50 (Patrick, Monique et Carine) décidés à partir se frotter au Pic Durban (1700m d'altitude). Direction Vallée d'Ossau, départ à proximité du Port de Castet. Petite montée jusqu'à un plateau et à nouveau montée de 500m de dénivelé jusqu'au col de Houssat (1592m). Puis toutes, toutes crêtes : le Mail (1665m), le Soum de Hourques (1623m), le Soum de Quala (1654m). Observation d'un troupeau d'isards et vue panoramique en 360°. Puis enchainement de petits sommets par des passages escarpés jusqu'au Pic Durban (1700m). Le tout, pour un total de 897m d'ascension en 3H40 et 6km. Ouf! opération casse croûte bien méritée. Le paysage en vaut la chandelle. Après la pause déjeuner descente vers la cabane de Couscouilla.

Total de la balade, 12 Km en 7H10 (déjeuner, observation des isards, du paysage et des fleurs compris) et 926m de dénivelé. Pente moyenne 17%.

Merci à Patrick pour cet inoubliable "toutes, toutes, toutes crêtes". Très belle boucle avec un bon dénivelé tout de même!

Carine.

Sus sur le Pic Erretzü en ce dimanche toujours très ensoleillé... Conséquence du réchauffement climatique? mais trop bon à prendre! Il y avait foule (9) pour suivre Richard et son adjoint... Jason en partant du village de Montory. OK, il y avait 4 Km en A/R sur le goudron mais cela nous a permis de nous réchauffer avant d'arriver au col où démarre l'ascension du sommet secondaire de l'Erretzü. Devinez qui est arrivé le premier là haut? Jason bien sûr! Puis, nous rejoignons le Pic Erretzü en partant toute crête. Descente ensuite vers le Col Losère où nous casse-croûtons et là... surprise au dessert. Jason (et sa maman) nous offrent des bonbons qui explosent! En fait, ce n'est pas le bonbon mais une petite languette qu'il faut tirer...Enfin, si vous ne voyez pas ce que je veux dire, vous n'aurez qu'à demander à Jason!! Retour en boucle, par la maison Paillet, à Montory.

Ce ne sont peut-être que 420m de dénivelée, mais 4H30 de marche pour 13 Km tout de même!

Merci à Richard et à Jason pour son babillage.

Katy.

Très beau temps en ce dimanche de Décembre qui nous a donné très envie de suivre Richard dans ce périple. Nous sommes 8 à répondre présents. Nous sommes partis au-dessus de St Etienne de Baigorry (160m) et avons suivi le GR10 que nous avons laissé à moment donné pour une bonne...(ou pas! ) grimpette qui nous amène après quelques efforts à la chapelle (933m). Le vent nous a accompagnés pratiquement toute la journée, ça souffle fort et pas chaud du tout!

Après une halte à Oylarandoy pour nous restaurer à l'abri du vent, le retour se fait en boucle par le Col d'Aharza (734m) que nous atteignons après une bonne descente qui nous reposera (?) de notre grimpette! Nous retrouvons le GR10 et quelques encablures plus tard, le circuit de l'aller.

4H de marche, 746m de dénivelée, un grand bol d'air très frais... Merci Richard de nous avoir conviés à t'accompagner.

A bientôt sur les sentiers.

Katy.

Que du beau monde mais aussi n'oublions pas nos 2 compagnons à quatre pattes, du beau temps, été indien oblige pour cette rando nous amenant au Lasnère sous l'égide de Patrick. Nous sommes partis au-dessus d'Aydius  par une  longue piste nous amenant jusqu'au départ marqué par un cairn (1060m). Nous rentrons dans le bois et après avoir traversé le ruisseau l'arigalos, nous continuons notre progression sur un sentier en lacets. A la sortie du bois, un sentier bien marqué nous conduit jusqu'à la cabane Cure-Deth-Cam (1585m). A partir de là nous rejoignons le Col de la Tallendière (1836m). Jusque là, tout va bien (après aussi, je vous rassure!), il ne nous reste plus que 160m de dénivelé à gravir mais un dernier effort à fournir car ça grimpe fort!. Tout le monde arrive à bon port au sommet du Lasnère (2000m), petite pause pour se substanter et récupérer. Retour en boucle vers la cabane Cure-Deth-Cam en passant par le Col d'Arrioutort. A partir de là, nous reprenons le même circuit qu'à l'aller.

Ce sont 5h30 de marche, 1000m de dénivelé qui nous ont permis de bien profiter des (peut-être) derniers assauts de l'été indien.

A plus sur les sentiers.

Katy.

Très belle journée, peu de dénivelé: 400m d'après le mail, 2 bonnes raisons pour découvrir les Arbailles Sauvages et notre groupe; nous accueillons Béatrice, Mike et Una ainsi que Sally en compagnie de sa chienne Blixon (10ans). Cathy Belleau profite aussi d'un repos pour nous rejoindre. 

En parlant des Arbailles Sauvages c'est bien le cas: ici pas de balisage ni de cairn, c'est à la vue que nous avançons vers le col là-haut....en traversant prairies, fougères, forêt, quelques dolines (creux circulaires) typiques des paysages karstiques c'est-à-dire où l'on rencontre de la roche calcaire et ...la roche est partout présente.

Très vite, en montant nous reconnaissons: le pic d'Anie, Saint Grégoire ou la Madeleine et surplombons les villages de la Soule. Après le bois, le col est en vue puis enfin le sommet est vaincu.

La jambe de Béatrice, les poignets de Sally se souviendrons des ronces ou des rochers!!! Mais tout le monde est fier d'être arrivé et le pique-nique sera vite avalé.

Descente comme la montée: à vue de nez il faut arriver à une grange. Bref en suivant la direction et les chemins de bêtes Richard nous mène à bon port. Merci pour cette belle rando au milieu de ce paysage effectivement sauvage!

Nous reprenons les voitures pour descendre au village de Camou (4,2km) plus bas et découvrir les anciennes thermes d'eau chaude de ce village; un petit bain de pied très agréable et la journée se terminera autour d'une  boisson rafraîchissante.

Marie Paule

Le vent est annoncé, effectivement, il est présent ce matin!! mais une belle balade, en boucle, s'annonce, alors nous partons vers Estérenguibel; une piste nous attend puis le cheminement sera très varié, bois, pâtures, roche poudaing (agglomérat de galets), et peu ou pas de balisage, nous comptons sur notre guide, Richard qui nous mènera à bon port malgré les conditions météo.

Presque qu'au sommet, nous rebroussons chemin, le vent est trop fort et nous déséquilibre, mais heureusement, après une bonne descente, nous contournerons le pic et, passant par derrière, nous atteindrons le sommet.

Pour la descente, le vent s'est calmé, nous pouvons plus facilement admirer ces paysages d'automne et après 6h de marche et presque 800m de dénivelé, nous rentrons au pas du troupeau de moutons tellement la route est étroite...

Merci à Richard pour la découverte de ce coin perdu

Marie Paule  

Profitant des vacances scolaires, Richard propose ce petit circuit pour permettre à Manon (10ans) et Thomas (7ans) de découvrir les plaisirs de la randonnée en montagne; Jason (7ans,aussi) est déjà un pro! Leur petite chienne Blackie est de la fête.

Nous ne démarrerons qu'à 9h et nous rendons à Saint Estében. Passé le village une petite route nous amène à la ferme d'Aïntzia où nous garons les voitures, le départ est presqu'en face. Pour cette boucle, nous suivrons le balisage jaune; Jason, Manon et Thomas partent en tête d'un pas bien décidé. Le circuit est agréable avec des chemins divers: piste, rochers, sous bois ou découvert, bref un bon aperçu. Nous passons à côté de plusieurs fermes dont une a les potirons qui poussent sur le fumier.

La dernière montée vers le sommet est raide mais à en croire les enfants c'est la mieux: "c'est plus dur mais tu avances"; Moi, je souffle et Thomas en se retournant dit: "Alors Mamie, tu es épuisée?"

La descente, assez raide au départ, ne les effraie pas du tout; de vrais cabris qui auront appris à reconnaître le chêne liège, du quartz, Jason a ramassé des châtaignes, Thomas de jolis cailloux. Ils n'hésiteront même pas à remonter une partie du chemin car j'avais laissé tomber mon porte-feuilles . Ils rentreront avec un beau souvenir: un bâton gravé à leur initiale.

Merci Richard pour cette belle journée; il ne manquait que le soleil pour admirer les sommets environnants et l'océan, mais c'est indépendant de notre volonté...

Marie Paule 

Départ aux aurores, enfin pas si tant tout de même (!), pour cette virée au Labigouer. Ce n'est pas la grande chaleur, c'est le moins que l'on puisse dire, mais la journée s'annonce très ensoleillée et c'est le plus que l'on puisse dire...Patrick amène son "harem", un peu réduit à peau de chagrin, car nous ne sommes que deux pour l'accompagner mais peu importe, le principal étant d'atteindre notre but! Nous nous garons au parking d'Aumet (1166m) au fin fond du plateau de Lhers et commençons notre rando par une longue piste qui permet de rejoindre les cabanes de Pourcibo (1390m) et deth cailhau devant lesquelles nous passons et reviendrons pour la deuxième. Après quelques hésitations, nous arrivons sur la piste qui nous amène au Col de Souperret (1920m) et, à partir de là, encore un effort pour accéder au Labigouer (2175m). A son sommet, la vue sur les différents monts tant de la Vallée d'Aspe, d'Ossau mais aussi côté espagnol, nous récompense de cette longue approche. Après une pause casse-croute bienvenue, nous repartons par le même itinéraire avec, au fur et à mesure de la descente, la douce sensation du soleil qui nous réchauffe et nous ravit... Belle et agréable rando de 6H...

Katy.

Bon pied, bon œil, direction le Pic Bricoutou qui est un sommet du fond de la vallée de Lescun. Nous rejoignons le parking de Labrénère au-dessus de Lescun. Nous revenons sur nos pas sur environ 600m pour prendre une piste à gauche et rejoindre le col d'Escourets en passant par le vallon d'Annès. A partir du col, en partant à gauche, nous allons contourner le Pic par la droite pour rejoindre le sommet et admirer la magnifique vue qui s'offre à nous, sur 360°, sur les différents sommets. Petite pause puis retour, pour cette boucle, par le vallon de Labrénère pour arriver à la cabane d'Itchaxe. Après passage sur un pont, nous rejoignons la piste forestière qui nous amène au parking. Pratiquement 5H de marche (nous n'allons pas mégoter sur quelques minutes!) et 750m de dénivelé. Merci à notre guide perso...Patrick.

Katy.

Journée très ensoleillée, de bonne augure, pour cette randonnée inédite. En effet, Patrick nous a amenées vers le Pic de Houndarète en partant du quartier de Salars au-dessus d'Aydius. Malgré les 850m de dénivelé, la piste puis ensuite le sentier montent très progressivement ce qui a permis à Marie-Paule de réussir sa "rentrée" comme un chef! Comme indiqué précédemment, le sentier est en plus très agréable avec toujours de magnifiques points de vue sur tous les pics environnants et avec très souvent en point de mire le village d'Aydius. Après 2 heures de marche tranquilou, nous atteignons le Pas d'Ilhurte à 1553m d'altitude. Nous laissons la direction de la cabane de Bésur pour nous diriger vers le Pic d'Houndarète  où nous arrivons 45mn plus tard. Pause grignotage un peu abrégée car un gros nuage nous ayant caché le soleil, il fait plutôt "frisquet", petit vent aidant! S'agissant d'un aller-retour, nous retournons vers la voiture après 2H de descente. En un mot...très chouette rando! (Zut!, il y en a 3!!) Merci Patrick.

A plus pour d'autres découvertes.

Katy.

"L'inoxydable" Richard nous a amenés en ce jour au sommet du Pic Bimbaleta. Nous avons d'abord franchi le pont d'Azkarai en passant sur la rive droite du Larrau et emprunté la piste nous amenant au cayolar de Saratze au-dessus duquel nous avons démarré. Après une bonne grimpette, pudiquement appelée "mise en jambes", nous avons atteint le Sarrimendi. Passage ensuite par les crêtes jusqu'à Izeto, puis Eskantola et descente sur le col de Bimbaleta. De là, nous progressons vers Bimbaleta que nous rejoignons en même temps que le brouillard (angoisse...angoisse...pour moi!). La vue magnifique escomptée n'est pas au rendez-vous puisque brouillard aussi du côté espagnol. Petite pause rapide car température pas vraiment encline à paresser!. Plus de brouillard (ouf!) et retour à la voiture après 4H30 de marche.

Katy.

A la base, nous avions prévu d'aller plus loin, mais c'était sans compter sur la ruée, non, non pas vers l'or mais presque!! Je veux bien sûr parler des myrtilles qui ont freiné certains d'entre nous : Carine petite cueillette pour son petit Jason, Patrick par gourmandise et Maxime parce-qu'il aime trop, trop ça!! Même s'il y a eu quelques arrêts, nous avons quand même marché 5H... Nous sommes partis au-dessus de Borce après avoir parcouru en voiture, une piste de 4km. Nous laissons sur notre gauche la direction du Vallon de Bélonce et nous dirigeons vers la cabane de Saoutelle que nous rejoindrons après quelques péripéties. Arrêt à Saoutelle pour laisser une trace écrite de notre passage " Nous vînmes, nous vîmes et repartîmes tout guillerètement" (Auteur : Patrick!). Et, c'est à partir de là, que les "myrtilliers" ont attiré inexorablement nos trois amis! Et, comme malgré tout, la myrtille ne nourrit pas son homme (ni sa femme d'ailleurs!), nous nous arrêtons vers 13H car il fait faim! Température très agréable avec un petit vent rafraichissant qui nous poussent vers une sieste en plein soleil alors qu'en plaine, c'est le "cagnard"! C'est toujours ça de pris. Retour par le même itinéraire et arrêt à Borce pour un rafraichissement et pour ma pomme une part de tarte...à la myrtille! Un vrai régal... Chouette ta rando, Richard, merci.

Katy.

Il fait beau, il fait chaud, tout est paré pour faire une belle rando et en ce jour, ce sera le Rocher d'Aran. Départ de la carrière d'Artigasse à quelques encablures du Col de Marie Blanque. Maxime et moi-même suivons Patrick dans ce périple. Il manque un sac à dos...pas grave, Maxime n'en sera que plus léger!! Nous démarrons dans le bois d'Artigasse, puis à sa sortie, nous arrivons dans le cirque de Congles avec en point de mire les falaises du Rocher d'Aran. Passage ensuite dans un bois pour accéder dans un vallon recouvert de myrtilliers n'attendant que le passage du ou des gourmands! Nous n'allons pas jusqu'au Col d'Aran mais obliquons directement vers le Rocher que nous atteignons après 2H45 de montée. Après une pause casse-croûte, mais pas seulement, car la vue y est splendide, nous reprenons le même itinéraire pour redescendre. Agréable balade, agréable journée, agréable compagnie! La plupart des photos sont prises depuis le sommet du Rocher. A plus.

Katy.

Par cette belle journée annoncée, nous ne sommes que 4 à participer à cette boucle inédite pour tous; en effet nous avions déjà découvert le Munhoa par la chapelle d'Oylarandooy mais pas par le GR10

Départ du village d'Anhaux, un peu avant le fronton, nous prenons à gauche et trouvons à nous garer juste au point de départ (260m) piste, sous-bois, avant de rejoindre le Gr10 qui lui est à découvert, nous prendrons plusieurs raccourcis marqués sur la carte pour éviter les grands lacets et lors d'un virage quelle plaisir d'observer un vautour percnoptère ou percnotère d'Egypte en vol.

Belle montée avec un petit vent rafraîchissant, au dessus d'Anhaux, de Saint Jean Pied de Port, avec vue sur le Jara et les crêtes d'Iparla. Au sommet rencontre avec les pottocks et les brebis, nous devinerons même la ZUP de Bayonne mais pas les festayres!!.

Descente par quelques chemins de bêtes avant de rejoindre une large piste où plusieurs raccourcis sont signalés mais invisibles en cette saison: les fougères sont trop hautes. 

Merci à Patrick pour cette balade: belle boucle avec 780m de dénivellé et 4h30 de marche.

Marie Paule

Parlons tout d'abord météo : atmosphère chaude, lourde, chargée d'humidité (et pas qu'un peu!) ensuite, parlons chiffres : 5 personnes au départ, 5H de marche, 15 Km  parcourus, 700 m de dénivelée. Voilà qui est fait... Comme l'indique le titre, nous sommes partis d'Arrossa en prenant le sentier des Contrebandiers (pas nous, eux...!). Balisé en jaune, que nous quitterons à moment donné, avec passage sur piste, belles grimpettes, sentier en lacets, parfois à flanc de montagne (à proximité du Jara) mais toujours en ayant en point de vue les vallées de Baïgorri, d'Urdos, les crêtes d'Iparla, le Baïgura, le Monhoa et...autres. Le sommet du Jara, situé au-dessus de St Jean Pied de Port (vu d'en bas) est hérissé d'antennes mais offre une vue sans pareille à 360° sur tous les monts, collines et villages de ce coin du Pays Basque.

Nous nous posons une petite heure pour grignoter, surveillés de près par les vautours fauves. Retour vers la voiture en faisant une boucle, heureux... d'arriver(!) mais aussi de l'avoir fait.

Merci à l'instigateur Richard.

Katy.

Temps légèrement couvert, l'idéal pour cette petite randonnée de reprise pour 2 malheureuses victimes d'entorses, il y a quelques semaines!!

Nous avons le plaisir d'accueillir Kris et Dave et de retrouver Hélène. Une petite chienne: Blakie participe également à cette rando.

Départ du col d'Ipharlatze sur les crêtes entre Larceveau et la vallée de Lantabat, par Bertugaine et le Gazteluzahar. Nous nous arrêterons au col des palombières, après 2h30 de marche tranquille. Pique-nique, une petite sieste pour certains et retour par le même chemin.

Les troupeaux de brebis, vaches et chevaux profitent de ces pâturages et la nature nous a offert le plaisir de contempler un champ de gros chardons fleuris propices au butinage des abeilles ainsi que la découverte de nombreux prunelliers prometteurs de bon patxaran.

Avec ce style de montagnes russes, c'est un petit dénivelé de 500 à 600m que Richard nous a proposé et une belle balade de 5h, au-dessus de ces très jolis villages basques donc un dimanche bien rempli.

Marie Paule

Temps beau et chaud pour cette boucle. Départ depuis la table d'orientation où nous profitons déjà d'une très belle vue sur la plaine de Bedous. Après 5 mn sur la route, départ du sentier, fort raide, près d'une grange. Relativement à l'ombre, nous progressons vers la cabane de Pétraube où, le berger, ses brebis, ses chèvres, ses ânes, ses chiens ont pris leur quartier d'été. Nous retrouvons le sentier passant à côté d'un frêne solitaire qui, en progressant sous des affleurements calcaires nous amène vers un collet et 10mn plus tard au Pic de Teulère (2H30 de montée). Petite pause pour faire le point sur les différents sommets aperçus du Pays basque (Orhy) aux vallées de Barétous, Aspe et Ossau.

Nous reprenons le sentier nous ayant amenés au Pic de Teulère pour descendre vers la cabane d'Ourdinse où à l'ombre nous nous restaurons. Descente, au soleil, en boucle à partir de là avec une petite variante qui nous évite le sentier raide et caillouteux du départ (merci Patrick). Un cèpe, hélas "passé", nous nargue sur le bord de la piste. Avis aux amateurs...

Randonnée faite avec Sophie rencontrée sur le parcours. A bientôt sur les sentiers.

Katy.

Très belle journée, pour une balade dans la vallée d'Ossau, au départ de Gourette. Il fallait profiter de ce premier jour d'été pour une randonnée à 80 km de notre point de départ...Mauléon!

Parking en ville et départ par la station, nous suivrons le GR10, c'est un parcours très agréable et varié: chemin de terre, herbeux ou de rocailles, en traversant bois et pâturages. Les troupeaux ont rejoint les estives. Les fleurs jonchent le parcours. Nous avons même entendu le cri de la marmotte sans l’apercevoir. Le paysage est sauvage mais, en ce jour de très beau temps, nous sommes nombreux à vaincre ces 770 m de dénivelé sur 8 km pour une belle récompense à l'arrivée.

Grâce à Patrick nous avons pu découvrir cet endroit. Les images parlent pour nous.

Pour le retour nous avons tenté une boucle en empruntant une piste, mais, comme conseillé dans les topos, le retour par le même chemin est plus joli: cet itinéraire manque de diversité

Marie Paule

Départ du Pas de Roland, passage par Arkera pour rejoindre le Col de Légarré. Nous rejoignons le Col d'Amezketa au pied du Pic d'Ezcondray et rencontrons le sentier un peu raide qui nous amène à l'orée d'une splendide hêtraie. A sa sortie, nous suivons un vague balisage qui nous hisse vers le sommet du Mondarrain. La cime du Mondarrain se présente comme un terre-plein battu par le vent. Du sommet occupé par une ancienne redoute romaine, vue panoramique sur la Rhune et la Côte (aujourd'hui dans la brume), l'Artzamendi et le Pas de Roland.

Le Pas de Roland tire son nom de ce fameux rocher fendu remodelé par l'homme. Il serait soit l'œuvre des sabots furieux du cheval de Roland fuyant les vascons, soit la brèche aurait été ouverte d'un coup d'épée par le célèbre neveu de Charlemagne. Libre choix...

Richard nous avait proposé cette rando et nous le remercions pour cette grande "bolée" d'air et de soleil.

Katy.

Patrick était très bien entouré pour cette sortie au Lac d'Er...Journée enfin très ensoleillée et prometteuse pour ce départ à 1km en amont de Gabas. Le sentier se trouve de l'autre côté de la route, rentre dans le bois, la pente est raide dès le départ. Pas d'états d'âmes, faut y aller (!) pour arriver à la clairière d'Ayguebère dominée par l'aiguille du même nom. Nous la traversons pour prendre le sentier légèrement à droite qui rentre dans la forêt. A la sortie du bois, il continue sur un petit pierrier. Un petit effort encore et nous arrivons au lac d'Er. Voici 2H30 depuis le départ, le sentier ne s'est jamais départi de sa "raideur" mais malgré tout montée progressive et bonne mise en jambes!.

Pause au bord du lac et retour par le même chemin, arrêt à la clairière d'Ayguebère pour admirer le somptueux panorama qui s'offre à nous. Retour au parking après 4H30 de marche.

J'ai failli oublier...merci pour le chocolat Patrick...Hé oui...Jean sort de ce corps!!

A plus.

Katy.

Photos de Carine.

Nous sommes partis au niveau de la ferme d'Arouchia dans la vallée d'Aritzacun. Nous suivons le GR 10, passons à côté de la grotte du "Saint qui sue" à l'intérieur de laquelle se trouve une stalagmite vénérée car elle soignerait les maladies de peau. Poursuite sur le GR que nous laissons ensuite pour suivre le sentier balisé en jaune, qui nous amène sur un plateau où nous profitons d'une vue exceptionnelle. Nous apercevons sur les éperons formés de grès rose et d'agglomérats, l'une des plus vieilles colonies de vautours fauves des Pyrénées et leur "descendance". Petit arrêt à l'abri du vent, qui souffle fort, pour les regarder. Descente vers la cascade de Sistagorri où nous nous arrêtons pour "manger un bout" au bord d'une vasque, petit coin on ne peut plus bucolique! (Merci Richard). Nous aurons tout le long du circuit, tout loisir de suivre les pérégrinations des vautours en quête de nourriture pour leurs petits.

Un peu plus tard, nous rejoignons "le Chemin des Moines" qui doit son nom aux peñas qui se détachent du ciel évoquant des moines coiffés de capuchons. Il est aussi appelé "le sentier du lait" rappelant le voyage des bergers qui descendaient leur précieux chargement jusqu'à la vallée. Descente raide, rocheuse avec parfois des pierres placées telles des marches d'escalier. ("Faut faire gaffe!"). Retour au point de départ par un sentier qui serpente au-dessus de la rivière Aritzacun. Il fait très chaud, quelques points d'eau sont là pour nous rafraichir, heureusement! Qui s'en plaindra? Pas moi... A plus sur les sentiers...

Katy.

Petite explication de texte ou plutôt de titre : nous avions effectivement projeté d'aller jusqu'au lac de Lhurs, mais, c'était sans compter sur la neige encore très présente! Nous sommes donc partis du parking d'Anapia au-dessus de Lescun par une journée mi-figue, mi-raisin c'est à dire plus de nuages que de soleil. Nous passons tout d'abord sur une piste, ensuite passage en sous - bois où, au fur et à mesure de notre ascension, nous rencontrons quelques plaques de neige. Nous rejoignons ensuite un sentier qui, après cette montée, nous repose un peu... Sentier caillouteux à la base du Billare mais qui est encombré par endroit de neige, jusqu'au moment où, nous sommes obligés de faire prudemment demi tour. Redescente vers Anapia et Lescun où en désespoir de cause, (ne pas prendre "désespoir" au 1er degré!), nous décidons d'aller "casse-croûter" au Bar des Bergers (garbure / omelette - piperade / fromage). Il est toujours aussi agréable d'allier rando-resto! A la prochaine...

Katy.

La retraite a du bon... entre autres de pouvoir profiter d'une belle journée ensoleillée quelque soit le jour de la semaine! Ceci étant dit, nous avons cheminé, à l'initiative de Patrick, vers l'Autza. Il fait déjà très bon au Col d'Ispéguy (672m) d'où nous démarrons en prenant le sentier marqué  "Elhorrieta" sur les panneaux. Sentier qui ondule à flanc, traverse une forêt de hêtres. Nous arrivons au col de "Nekaitz" (814m). Nous passons par le sommet de Nekaitz avant de redescendre vers le Col d'Elhorrieta (832m). A ce niveau, nous montons sur le sentier à la lisière de la frontière espagnole parsemé de blocs poudingues. Après passage par un petit col, montée vers l'Autza (1036m) atteint en 2H30 depuis Ispéguy. Après une pause grignotage à l'abri du vent, retour par le même sentier sous le soleil et la chaleur mais...on ne s'en plaindra pas!! Belle journée, belle balade, tout était "farpait!".

Katy.

Nous avons, en ce mercredi ensoleillé, décidé d'aller rendre à nouveau visite aux Granges d'Aste mais cette fois-ci en partant du village d'Aste. Une longue piste en zigs-zags, atténuant de ce fait la pente, nous amène jusqu'aux granges d'Ourdou; Ces granges sont aménagées en résidences secondaires et donnent envie de se poser pour une nuit, un  jour, une semaine... Passage à leur proximité et ça monte toujours!. Grâce au GPS du GO Patrick, nous prenons un sentier qui monte à travers les pâturages vers les granges d'Aste que nous atteignons au bout de 2H45 (précision oblige!). Pause casse croûte, sieste pour l'un, papotage pour les autres. Redescente ensuite vers Aste sur sentier et  sur piste pavée et caillouteuse (et pour de la descente, c'est de la descente!). Retour au carrosse du GO après 4H de marche.

Katy.

Après ce long épisode de mauvais temps, c'est à 10 que nous démarrons, pour éviter le bitume, près de Mulchikoko borda, belle grimpette jusqu'à l'Haltzamendy,Pierre a suivi! Le pique-nique, sur la falaise,n'est pas aussi impressionnant que sur la photo et c'est à 10 que nous rentrerons puisque tout le groupe a assuré, n'est-ce pas René?, malgré une descente, par le col du Laina, un peu raide, dans les rochers.... Belle journée qui nous a permis d'admirer la chaîne des Pyrénées, les vallées d'Ossés, de St Martin d'Arrossa et de Bidarray, malheureusement la côte est restée dans la brume.  

Le soleil est enfin revenu! Nous avons rejoint Richard à Arbouet pour une découverte pendant 3 Heures de son coin. Il nous a permis de voir toute la chaine des Pyrénées sous la neige tant du côté Basque que Béarnais et au-delà. Nous en avons vraiment pris plein les yeux et merci à lui, de nous avoir permis de le faire.

Une attention toute particulière pour Gabrielle pour le plaisir d'avoir partagé sa table et ses bons plats...

A bientôt pour d'autres aventures tant sportives que culinaires...

Katy.

Petite balade  de 3H en cette matinée de dimanche, certes froide, (mais rien en comparaison de ce qui nous attendait!) mais très ensoleillée. Nous en avons profité pour faire une boucle en partant du camping d'Aramits, passage par le circuit d'Escary, le Soum de Souek.  Retour sur Aramits en longeant Aventures Parc et rejoignant la route menant à Gouloume.

Pas de pique-nique mais arrêt à "La Rapière" pour se restaurer. Accueil très convivial, très bonne cuisine "maison", prix très abordables, à recommander!

Ne vous méprenez pas, je n'ai pas d'actions dans ce restaurant! mais, au final, très agréable journée.

Katy.

Nous avons commencé à l'ouest du Cayolar Idigorria en direction du Cayolar Beloscare qui se trouve dans une prairie parsemée de rochers typiques de la forêt des Arbailles.

Du cayolar, nous montons, par les crêtes, vers notre destination qui devait être le Pic des Escaliers à une distance d’environ six kilomètres. Le tracé suit la crête, à la lisière de la forêt, une descente abrupte nous amène au Cayolar Lehentchegaratia. Nous continuons, vers l'ouest.

En suivant la crête de Mendikotziague nous arrivons finalement au Col Ugatze et nous rejoingnons la route qui relie Ahusky à Iraty. Là, surprise c’est une patinoire qui nous attend, ce qui rend notre progression difficile. Heureusement, le sentier où commence la véritable ascension du pic est baigné d’un soleil radieux qui, par chance, nous accompagne depuis le début. Mais… à l'ombre du pic, le sentier est encore enneigé et la progression est de nouveau délicate.

Prudence oblige, nous décidons de réserver notre destination à un autre jour, plus clément.

Un bon casse-croûte au soleil, sous un ciel bleu éclatant, devant ces montagnes, recouvertes d'un manteau neigeux qui brille nous semble immédiatement plus attrayant.

Pendant le pique-nique, nous sommes intrigués par un nuage de fumée, un écobuage est en cours dans la vallée!

Seul Jean, qui avait besoin de dépenser beaucoup d'énergie, est parvenu au sommet.

Retour par le GR10.

 Une belle randonnée, en plein hiver, en tee-shirt. Le paradis!!!

Marie Paule