Alain avait eu le "nez creux" en prévoyant cette sortie pour ce lundi car malgré une approche un peu difficile du départ (obligés de chainer, ce qui à priori, est loin d'être une chose aisée...) vers le Pic Soulaing, nous avons pu profiter d'une belle journée entre un peu de gris, un peu de soleil, beaucoup de neige et des paysages fabuleux à parcourir.

Les montagnards vendéens : Alain - Jocelyne et Marité nous avaient proposé de les accompagner et nous les en remercions.

Quelques photos pour illustrer cette boucle, de 4h30 effectives, que nous avons eu l'occasion de parcourir en été mais jamais en hiver et cela valait bien quelques efforts!!.

Katy.

C'était la "énième" reprise pour certains plus que d'autres d'ailleurs mais pour le soleil aussi!! Nous n'avons donc pas boudé notre plaisir pour nous retrouver qui à Mauléon, qui à St Palais afin de rejoindre St Estében, nous garer et nous diriger vers Eltzarruze. Il s'agit d'une des hautes collines (421m) de la Vallée de l'Arbéroue en Basse Navarre; nous avons pu tout au long de son approche profiter d'une très belle palette de paysages avec vertes prairies et tout au fond les Pyrénées enneigées grâce au parcours concocté par Patrick.

Un coup d'oeil à la carte jointe à cet encart vous permettra d'en suivre le circuit.

Merci encore pour cette reprise "cool" : 500m de dénivelé, 8 km et 3H de marche effective et  au prochain...soleil! (pourvu qu'il ne nous fasse pas trop languir...).

Katy.

Après quelques embrassades pour marquer cette nouvelle année, nous partons à 6 plus les 2 chiennes, vers Iholdy et l'Hocha Handia, le vent est de la partie mais, comme prévu par la météo, la pluie aux abonnés absents OUF!!! Un peu de répit pour cette journée.

Par prudence nous éviterons en principe les chemins boueux. Départ de la ferme Pekotchia un peu de macadam puis le chemin à droite (attention à ne pas le rater) et sa première montée un peu raide pour suivre la piste jusqu'à Ortheguikoborda (308m)

Ensuite nous partons vers Haucha Handia avec vue sur les sommets environnants :Garalda, Baigura, Ursuya. Descente par le même chemin et après le col de Laparzaleko, montée, en direct, vers Mendibile. Descente en douceur mais en bavardant, nous oublions de tourner... si bien que nous goûterons quand même aux chemins boueux (voir certains fonds de pantalons...) La pause déjeuner à l'abri du vent sera la bienvenue et nous retrouverons la piste du retour. 

Bonne rando, facile et très appréciée, après toutes ces fins de semaines pluvieuses, avec un dénivelé de 660m et 10km de parcours.

Merci à Richard d'avoir pris le risque d'organiser cette sortie avec une météo toujours capricieuse.

Marie Paule   

 Nous avons de la chance, nous démarrons avec un temps clair sur cette vallée, mais couvert sur l'autre versant ce qui nous permettra d'admirer une belle mer de nuages là-haut.

Richard nous a concocté un circuit qui nous a permis de profiter d'un maximum d'ensoleillement,et de profiter de la lumière automnale. Nous sommes montés par le côté le plus raide et sommes descendus par le chemin de découverte ce qui a permis à Jason de lire toutes les pancartes explicatives sur la faune et la flore du Baïgura

Une bonne journée pas trop fatigante après ces WE pluvieux

Marie Paule

Alain a profité d'une journée de "transition" dans cette météo plutôt déroutante pour une invitation surprise à faire des grillades dans sa résidence secondaire du camping Elizanburru à Suhare. Nous étions 3 à répondre présents - les habitués en fait -. Il nous fallait quand même mériter notre "chuleta", nous nous sommes donc dirigés vers Athérey et son Chapeau du Gendarme pour 2 heures de randonnée. Ensuite, zou sur Suhare où "apéros, entrées variées, chuleta et desserts variés", papotages et projets, en agréable compagnie jusqu'au milieu de l'après midi, ont ponctué cette journée.

Merci encore à toi Alain et au prochain de tes séjours.

En conclusion, proverbe chinois à méditer : "une journée en vaut trois pour qui fait chaque chose en son temps".

Katy.

Départ du Col d'Ispéguy (672m), cap au sud par un sentier entièrement en Espagne qui contourne l'Usatxarreta par l'ouest. Arrivée au col de Nékaitz (814m) puis au col Elhorrieta. Nous laissons le GR11, circuit classique sur la gauche et partons cap plein ouest pour une grimpette des plus sympathiques (!!) jusqu'à l'Autza (1306m). Pour la descente, nous prenons le GR jusqu'aux cols Elhorrieta puis Nekaitz pour prendre le sentier côté France et rejoindre Ispéguy via la forêt de Nekaitz.

Ceci est un copié-collé de Patoche et non de Valoche (on l'aurait su si elle était venue à Ispéguy!!). L'Autza est le premier sommet à dépasser les 1300m depuis Hendaye et nous avons profité une nouvelle fois de l'été indien pour cette rando. Non loin du sommet se trouve une petite éminence hérissée de mégalithes. Un mégalithe est un monument constitué d'une ou plusieurs pierres de grande dimension érigées (ou levées) par les premiers groupes humains de producteurs (agriculteurs, éleveurs, mineurs...). C'est aussi une terre de légendes, on raconte que dans les entrailles de l'Autza, il existe un gros tas d'or mais personne ne peut le prendre car il est gardé par un dragon et un bouc (croyances anciennes liées à la sorcellerie) donc...pas touche!!!

Durée montée : 2H30   descente : 2H   Dénivelé cumulé : 835m   Distance : 8,5km.

Merci à... Patoche pour cette sortie.

Katy.

Plus de stagiaires à Météo France (dixit Patrick!) d'où prévisions à prendre à la lettre d'où soleil...Le même Patrick nous a donc conviés pour cette sortie inédite qui va nous amener de Cette au Pic de Narbissat en Vallée d'Aspe. Nous nous garons donc à proximité du fronton de Cette et suivons les panneaux qui nous amènent au départ. C'est donc sur un large sentier muletier que nous allons progresser , bordé de hêtres, de châtaigniers et de chênes. Après passage d'une barrière métallique (attention à la clôture électrique qui borde la pâture!), nous arrivons à la croisée des chemins à Rèse et nous poursuivons vers Narbissat.. Après franchissement d'une autre barrière, nous continuons à monter sur ce chemin très bien balisé et très agréable avec, dans notre dos, Cette-Eygun et la Haute Vallée et devant nous les prémices du Cirque de Lescun. Après passage dans un sous-bois de chênes et dans un dégagement, nous pouvons jouir d'un premier panorama sur le Cirque de Lescun. Arrivée ensuite dans une combe herbeuse où se trouvent les ruines de la première Cabane de Sabas.  A ce niveau là, continuation sur le chemin principal pour aller voir le panorama sur Lhers et Lescun et rejoindre le Col de Peneblanque. Nous retournons sur nos pas, pour, par le bois de Sabas et la cabane du même nom (décoiffée par la tempête Xynthia en 02/2010 et réparée fin 2012) rejoindre le Pic de Narbissat surplombé par le Pic d'Esque où la vue là aussi, est un pur émerveillement...

 Décidément cette randonnée nous aura vraiment tous enchantés du début à la fin, à l'aller comme au retour  et avons décidé d'attribuer à Patrick la note de 20/20 ou 10/10 ou 5/5 bref, un max!! et attendons la prochaine..

Dénivelé cumulé : 834m, 8km et 3H50 de marche effective.

Katy.

Je vous ferai grâce et ne vous parlerai pas de "la pluie et du beau temps" qui a été un des sujets de conversation omniprésent durant l'été... Allez, juste un petit mot, il fait beau! Nous nous retrouvons donc à Potxo soit venant d'Aussurucq, soit d'Alçay pour commencer cette rando qui dans un premier temps nous amène au cayolar d'Udoya. Celui-ci se situe au fond d'une doline et heureuse surprise, nous avons eu le privilège d'y rencontrer Claude Dendaletche naturaliste et biologiste connu et reconnu auteur d'une vingtaine de livres (Pyrénées, Montagnes d'Europe, Hymalaya...). C'est avec plaisir que nous avons pû converser quelques minutes avec lui et sa famille. Nous progressons ensuite vers les cayolars de Héguilloré et Olhatzezarre tout en "chassant" coulemelles et autres rosés des prés. Nous arrivons à l'auberge d'Ahusqui où les tables apparaissent prises d'assaut, pour nous, ce sera une pause dans l'herbe au-dessus de celle-ci pour manger notre en-cas.

Pour faire la boucle et rendre visite à la grotte Azalegiko Kharbea, nous rejoignons le col de Burdin. Richard ayant tiré l'azimut, Patrick carte et boussole en main, nous progressons (c'est là que le mot prend toute sa signification!) vers la grotte appelée aussi "des 1000 vaches" et la découvrons largement cachée par un bosquet. A partir de là, il s'agit de rejoindre nos voitures et ce sera "Koh Lanta"...sans les caméras!! personnellement, j'ai trouvé les ronces particulièrement inamicales!! Mais comme pour les participants à cette émission, nous avons survécu et tout est bien qui finit bien..

Notre logisticien Patrick nous signale 890m de dénivelé cumulé, 12,30km et 6H50 de marche.

Merci pour ce moment...(copié-collé de VT!). A bientôt sur d'autres sentiers.

Katy.

Ce matin, la météo d'Irary nous annonce : soleil jusqu'à 17h. Parfait pour la boucle prévue: le col de Burquidoy, l'Arthanolatzegagnia, le Pic des Escaliers et retour vers le cayolar Murrolatze et enfin celui de Zihigolatzé pour un sympathique barbecue. 

Arrivés en voiture en passant par Tardets et Sainte Engrace jusqu'au cayolar, Richard, Patrick, Pierre, Sally, les 2 chiens et moi nous démarrons, la balade, malgré ce ciel couvert.

Piste , bois, pâture, nous progressons facilement jusqu'au col puis attaquons le premier pic. Au sommet le tonnerre gronde au loin...nous entamons la première descente, là, ce sont quelques gouttes qui nous rafraîchissent!!! Donc, pas d'imprudence en montagne! Sagement nous prenons la tangente vers le cayolar Murrolatzé pour nous y abriter, une famille de Vendée nous a devancés et c'est en bonne compagnie que nous laissons passer l'orage.

Mais il a compromis nos plans, nous nous dirigeons calmement, par de la piste vers le cayolar de Zihigolatzé. Le projet de sa restauration a été lancé par Olha et réalisé par Interface: c'est un travail impeccable (voir les photos).

A présent il est temps de passer aux choses sérieuses: un petit rosé en attendant la cuisson de la charcuterie sur un petit foyer improvisé, la préparation des crudités et des sandwiches, bref un repas bien soigné surtout avec la "valise" pique-nique de Richard...le tout sous un soleil radieux!

C'est une boucle à reprogrammer par beau temps, pour la mener à son terme. Retour par Ahusqui et le coucou des bois: même en voiture nous faisons une boucle. 

Merci à tous pour cette belle journée.

Marie Paule

Beau temps annoncé, l'Irubelakaskoa est donc à portée de nos bâtons! 

Richard, Patrick, Sally, Katy et moi prenons la route de Bidarray, puis au quartier de Bassassagar, limitrophe de l'Espagne, nous laissons les voitures au parking.

Descente sur le bitume. Attention!, il faudra la remonter ce soir!!!

Le pont frontière est franchi, la maison dépassée, voici à gauche le chemin de départ de cette montée. Chemin étroit, assez raide mais les pierres servent d'escalator et au milieu des fougères et de la bruyère, nous progressons régulièrement et agréablement en reconnaissant les Peñas d'Itchusi, l'Iguzki et l'Artzamendi et en passant près d'un gorille (notre imagination travaille).

Plus nous approchons du sommet, plus les dalles sont larges et les "marches" hautes, nous sommes sur la crête puis au sommet. Là nous reconnaissons la Rhune et devinons l'océan et ses villes côtières.

Petite descente pour se trouver un coin ombragé pour la pose repas.

La descente, en grande partie dans les bois, (c'est agréable par ce beau temps chaud) présente des passages plus ou moins raides, mais la surprise viendra à la traversée de la rivière: plus de passerelle, nous nous déchaussons donc pour la franchir (bon rafraîchissement gratuit!) avant de rejoindre la piste puis nous avalons le raidillon du départ et nous voici aux voitures.

Une belle boucle, merci Richard pour cette belle journée.

Pour terminer toujours les chiffres: 

- altitude max : 967 m

- temps : montée 3h50  descente 2h40  total 6h30.

Marie Paule 

Jusqu'à ce jour, l'Orhy, c'était un peu pour certains d'entre nous, "l'Arlésienne : personnage qui est décrit ou mentionné mais qui n'apparaît pas en chair et en os". Effectivement, nous en parlions mais trop souvent, la météo nous jouait des tours et le sommet de l'Orhy avait sa coiffe de nuages mais, aujourd'hui, tout "va bene" et Ô miracle, nous sommes en août après tout, le soleil est au rendez-vous!. Patrick nous a concocté une boucle partant du vallon d'Ibarrondoa et précisément du cayolar d'Ibarrondoua (1300m) pour via les crêtes et le sommet de Zazpigain (1765m) rejoindre l'Orhy (2017m) en prenant la sente versant nord à la brèche d'Alupigna (présence d'un cairn). Plus qu'un long discours, les cartes jointes à ce commentaire, vous donneront une idée plus précise du circuit de notre randonnée qui près avoir quitté l'Orhy, nous a fait récupérer la belle italienne à Ibarrondoua en passant par le vallon d'Harnabarrak, trouver le GR1O qui se poursuit par une piste en forêt.

Nous aimons toujours autant les chiffres donc acte! : dénivelé : 860m, distance de marche : 7,5 km, montée au sommet : 3H et retour : 2H30.

Merci à Patrick ainsi qu'à Richard, M.Paule et Hélène pour leur agréable compagnie et puis, bye, bye "l'arlésienne"!!.

Katy.

Samedi dernier nous avions eu droit au soleil pour les Tourelles mais ce dimanche, patatras! grisaille sur toute la ligne et je dirai même sur beaucoup des sommets que nous aurions pu voir tout au long de la rando. Peu "t'importe", nous avons eu plaisir à nous retrouver au départ de la maison Bordaberry (484m) au-dessus de Licq. Nous remontons la route vers l'ouest jusqu'à la ferme Escalampougnéa (580m) où nous prenons une piste sur la gauche. Nous poursuivons sur cette piste agréable peut-être mais bien pentue bordée de pommiers anciens chargés de fruits pas mûrs (dommage...), sous l'égide de Patrick nous signalant les différentes directions à suivre. Nous arrivons à la borde Harraukiat et nous allons retrouver la piste après passage par une prairie saccagée par les sangliers et à proximité d'une grande palombière métallique. En poursuivant notre marche, nous parvenons sur une crête herbeuse que nous suivons jusqu'à la cabane Herreausquie (1000m). De là, avant d'aller au Losco, nous grimpons vers le Pic "sans nom" (1100m) et redescendons vers la piste qui nous amène au Pic Losco (1107m). A son pied, se trouvent la bifurcation et la piste que nous allons emprunter pour le retour. Pause à l'intérieur d'une cabane plutôt en mauvais état mais qui nous permet d'être à l'abri car, oui, nous sommes bien le 23/07 et...il fait "froid"...enfin, tout est relatif mais quand même... Courte pause et descente pendant 2H sur piste dans le bois de Haux et au passage se régaler de mures qui elles, étaient mûres! et retrouver les voitures.

Pour ne rien changer, quelques chiffres : 12,8km de distance, 820m de dénivelé, 4h45 de marche effective.

Merci Patrick "y hasta la vista a todos".

Katy.

Une éclaircie prévue...zou! nous nous y engouffrons avec bonheur! Nous sommes 4 à suivre Patrick dans un périple nous amenant aux Tourelles via la Cabane d'Ichéus. Après passage par Lourdios, direction vers la Pierre puis à un croisement, vers le Col de Bouésou. Arrivés à ce niveau, nous continuons sur la piste en voiture, afin, de commencer la rando à partir de la Plateforme de Catazar (1239m). Direction Cabane d'Ichèus et nous retrouver au-dessus de la mer de nuages après passage dans le bois. Nous arrivons sur un grand plateau herbeux(1453m) qu'il faut traverser pour arriver à la Cabane d'Ichèus (1562m). Pour la boucle, nous prenons à gauche de la cabane ( le retour se fera par la droite) le sentier rentrant dans le bois où nous n'avons plus qu'à suivre les nombreux cairns. Ils nous guident à travers bois pour ensuite remonter un goulet herbeux, passer sur le haut par une pente plutôt caillouteuse dans un décor minéral et atteindre notre but (2038m) au bout de 3H.

Après une pause "ravitaillement" et profiter de la vue qui s'offre à nous du haut de ce belvédère, pour faire la boucle, nous prenons la sente qui descend vers le Pas d'Azun (sans l'atteindre) et récupérer, en prenant quelques précautions, le GR10 bien visible en contrebas que l'on quitte ensuite pour prendre un sentier à droite. Nous longeons les grandes parois verticales sur lesquelles nous sommes passés à l'aller  et rejoignons cahin-caha Ichèus. A partir de là, même parcours qu'à l'aller et arrivée à la voiture après 2H30 de descente avec le sentiment de n'avoir, autant pour les uns que pour les autres, pas démérité sur les 10km et 900m de dénivelé parcourus.

Arrêt à Arette pour nous désaltérer... et cerise sur le gâteau, Jocelyne et Alain nous convient bien gentiment à terminer notre sortie par des grillades au Camping de Suhare...au bout du monde! (remarque tout à fait personnelle!). Il est évident que nous avons accepté sans modération...

Merci à tout le monde et à plus sur d'autres sentiers et d'autres projets.

Katy.

En ce 18 Juin, la suite et fin des élections (Ouf! Y a plus K...!) ont fait que nous nous sommes mis en chemin plus tard que d'habitude. Fort heureusement, Patrick avait choisi de nous amener, au départ de Larrau, et ceci vers le Col d'Erroïmendi, par le bois de Saint Joseph. Nous avons bien apprécié cet itinéraire car nous avons pu marcher relativement à l'ombre et nous préserver autant que possible de la canicule ambiante. Petit arrêt à la Chapelle Saint Joseph où nous allons revenir après une visite au Col d'Erroïmendi et un coup d'oeil au Pic d'Orhy. Une petite pause à l'ombre de la chapelle pour manger un "gnac", suivre du regard les parapentistes qui passent au-dessus de nous, papoter entre nous trois de tout et de rien et nous redescendons vers Larrau. Arrêt à Logibar pour quelques rafraichissements et nous nous séparons à Tardets. Agréable rando en compagnie de Patrick et Richard.

Katy.

Beau temps annoncé, nous sommes 5 à randonner ce jour...Départ 7km après Saint Just Ibarre, au col de Zuharry. Nous descendons en voiture une partie de la piste pour éviter de l'avoir à remonter, en totalité, à la fin de la balade. Donc remontée à pied vers le col et nous suivons les panneaux vers le pic de Belchou. La vallée est dans la brume, mais la chapelle Saint Antoine "émerge"; plus loin c'est le village d'Hosta qui bénéficiera d'une éclaircie mais jamais nous ne pourrons deviner la côte océane...

La chaleur étouffante, et le manque d'ombre nous incitent à faire le tour du Belchou plutôt que son ascension. Descente dans un joli vallon herbeux où nous trouvons un balisage jaune que nous suivrons jusqu'à la pause repas, que nous aimerions faire dans un endroit ombragé, un bosquet d'arbustes nous attire, mais...les brebis l'ont déjà colonisé! Encore quelques dizaines de mètres et nous serons très bien.

La pause ne sera pas très longue car les nuages remontent dangereusement de la vallée des sources de la Bidouze. Le retour, dans ces nuages, nous privera de beaux points de vues sur les gorges de la Bidouze ou les sommets pyrénéens. Heureusement Richard connaissait bien cette rando et a bifurqué au bon endroit, c'est à dire: après le cayolar de Belchou, pour descendre à travers bois et retrouver la piste à remonter jusqu'à la voiture. Pas de GPS, mais carte et boussole donc pas de chiffres précis à vous communiquer.

Balade à refaire par temps dégagé (ce qui était prévu ce jour!!!). Nous avons éliminé les excès, pris un bon bol d'air et étions ravis d'être sortis ce dimanche. Merci à Richard et désolé pour Patrick qui n'a pas pu se joindre à nous, l'italienne était capricieuse ce matin!

Marie Paule.

Encore une belle journée, profitons-en! A près un passage par Arette et le Col de Lie, direction Lourdios pour prendre la route de la Pierre St Martin et à moment donné bifurquer vers Osse en Aspe et le Col de Hourataté. C'est donc à partir de là que nous commençons notre rando sur tout d'abord un peu de piste goudronnée puis sur sentier, bien pentu, pour rejoindre et traverser un bois de hêtres plus torturés les uns que les autres! C'est un sentier très bien balisé en jaune mais aussi pour le trail qui nous amène jusqu'au Col de Bergout. Nous suivons toujours le balisage, qui, sur sentier, nous amène à passer à la Cabane de Légarce. Petit arrêt pour visiter la dite cabane puis cap vers le Soum de Las Tutas que nous parcourons en un petit A/R. Le but étant malgré tout le sommet du Layens, nous poursuivons jusqu'à celui-ci que nous atteignons au bout de 3H depuis Hourataté. Pause d'une petite heure pour admirer la vue à 360° et grignoter un petit peu aussi. Une boucle étant prévue, nous quittons le sommet par les crêtes pour rejoindre Coureyette et la Cabane d'Aspre. A partir de là et par sentier accroché aux flancs du Layens, nous rejoignons la piste de Bergout et poursuivons jusqu'aux voitures. Retour vers la civilisation par Osse-en-Aspe, Sarrance et Arette.

2H de descente, total 10,8km et 780 de dénivelé.

C'était sympa et agréable, merci à nos 2 guides Patrick et Alain et bienvenue au "petit nouveau" Jean-Luc.

Katy.

En ce jour, on ne peut plus chaud!, nous avons suivi Alain dans cette rando nous amenant en boucle de Tardets via l'Erretzü à Tardets. La carte IGN jointe à ce succinct compte-rendu vous en dira plus qu'un long discours. Bien que le but de cette sortie n'ait pas été atteint, surtout à cause du temps très lourd qui avait tendance à nous "plomber", nous avons passé de très bons moments et marché pendant 4H pour 550m de dénivelé et 10km.

Merci à notre guide.

Katy.

Nous laissons la "belle italienne" de Patrick sur le parking devant l'église des Aldudes. Après avoir traversé le pont sur la Nive, nous nous dirigeons vers l'escalier (en retrait sur la gauche) qui grimpe au-dessus des maisons. Nous suivons le sentier abrupt qui nous amène jusqu'au Col Lepeder. A partir de là, nous continuons à flanc sur un sentier aérien que nous poursuivons jusqu'au col d'Otsachar. Nous faisons un petit tour pour aller admirer la vue sur la vallée de Banca et Urepel et avec en toile de fond (entre autres) le Lindus et sa redoute. Nous rejoignons l'Otsamunho et faisons notre pause "grignotage". Après une petite heure d'arrêt, descente vers le col de Mizpira pour monter à l'Errola et poursuivre notre boucle en passant par le "circuit du porc basque".

Après 4h50 de marche, 817m de dénivelé cumulé, 11km nous arrivons chez Pierre Oteiza où nous nous désaltérons et partageons quelques spécialités locales.

Merci à Patrick et Richard pour cette sortie.

Katy.

Ce jour, c'est un circuit sympa et accessible à tous, qui nous a été concocté par Richard et Patrick. Le beau temps est de la partie. Nous commençons par une découverte des routes très étroites partant du Pas de Roland vers le col de Méhatzé...Nous laissons les véhicules au pied de l'Iguski, et partons vers la venta Burkaitz. Là, un vol de vautours nous indique que nous sommes bien sur leur territoire.

Nous bifurquons à gauche et empruntons un sentier qui contourne l'Iguski, partout, les pottocks nous accompagneront.Très jolie balade pas fatigante, à flanc de montagne, avec le plaisir de se retrouver face aux nids de vautours, dans une montagne sauvage, où les vestiges du pastoralisme persistent: murets d'enclos, cayolars et...ruine. 

La pose repas est bucolique: ruisseau, cascades, ombrages d'arbres et même un petit cairn "zen".

Nous reprenons le chemin du retour et ferons une petite boucle pour passer par le col de Méhatzé avant de redescendre par une prairie jusqu'aux voitures.

Retour par l'Espagne sur une piste surplombant toute la vallée du Baztan, vues magnifiques pour les passagers, moins pour les chauffeurs... nous rentrerons en France par le col d'Ispéguy.

Bilan de la journée: 3h15 de marche, 530m de dénivelé, 8km20 à pied et combien en voiture? (A.R.Saint Palais: 142)!!

Merci à nos accompagnateurs de nous avoir permis de découvrir ces paysages basques.

Marie Paule

En ce premier tour des Présidentielles, Richard nous a amenés vers Pixta et Ardané en boucle. Nous nous dirigeons au-dessus de Larrau et laissons notre voiture sur un petit parking situé à 600m après le Pont d'Amubi. Le départ se fait sur une large piste, passage à côté de la retenue d'eau, donc une petite mise en jambes. Nous laissons ensuite cette piste pour prendre la direction de la "cascade de Pista", panneau situé au pied d'un sentier balisé qui monte plutôt raide à travers un sous-bois accompagnés du murmure du ruisseau Pixta sur notre gauche. A la sortie du sous-bois, arrivée dans une fougeraie "écobuée" qui laisse apparaitre un sentier verdoyant et montant. Après un peu plus d'une heure de montée, nous pouvons voir la cascade et faisons un petit détour pour aller au cayolar Pixta Pékoa. De là, nous remontons le versant bien raide pour rejoindre Pixta Gagnékoa. Nous avions prévu d'aller au cayolar de Bürüxieta mais petite imprécision dans le parcours nous amène à faire demi-tour. Le retour se fait donc par le vallon d'Ardané en prenant tout d'abord la piste que nous coupons par des descentes à flanc de montagne. Pause casse-croûte, cela fait 3H50 que nous marchons et il fait faim!!! Requinqués, nous descendons dans le vallon, visite au refuge d'Ardané. Traversée du ruisseau pour prendre le sentier qui le suit sur sa gauche. Le vallon se termine, le ruisseau et le sentier s'enfoncent et sautent dans un défilé qui nous amène au cayolar d'Ardané Pékoa situé dans une clairière entre la barre rocheuse d'Olhazarreko Botchia et la crête de Baratchégagna. Nous nous y arrêtons quelques instants pour admirer cette construction et son aménagement intérieur qui donne envie d'y passer du temps... Départ par un sentier parfois raide pour rejoindre le bois de Beltzourti et un chemin plus large qui débouche sur la piste d'arrivée. Retour à la voiture après 2H10 de descente.

Donc 6H de marche, 11,6kms, 1208m de dénivelé cumulé.

A chacun ses chiffres...les Présidentielles ce sont des %!!!

Merci à Richard, Patrick et Francisco de leur agréable compagnie.

Katy.

Départ au dessus d'Estérençuby vers Estérenguibel pour refaire ce sommet en sens contraire et, nous l'espérons sans ce vent violent qui nous avait, le 31 octobre 2015, obligés à modifier notre circuit.

Ce jour nous sommes 5: Patrick, notre guide, Monique, Kathy, Francisco et moi, et partons d'abord vers les crêtes, par un chemin peu fréquenté, depuis qu'une belle piste est tracée plus haut, nous la rejoindrons plus tard. Puis grimpons dans une prairie bien raide pour atteindre ces crêtes qui, par des montées et descentes successives (ce qui est normal en montagne) nous mèneront vers le sommet. Le vent est là mais agréable par cette chaleur et ne perturbe absolument pas notre progression.

Une petite pause repas au sommet, la descente est directe, par les prés puis sur la piste.

Journée très agréable, nous étions seuls au monde au milieu de ces paysages sauvages. Nous n'avons rencontré qu'un troupeau de vaches au départ et quelques chevaux au retour.  

En bref et en chiffres voici le résumé de la journée:départ à 09:22 (400 m), arrivée à l’Iraukotuturru (1152 m) à 12:17, départ à 13:15 et retour à la voiture à 15:25. dénivelée : 1038 m, distance de marche 12 km

Merci à Patrick

Marie Paule 

Nous étions six pour cette rando nous amenant vers l'Adartza. Le départ se fait de la ferme Bordaxuria à 2 km environ au nord d'Arnéguy. Patrick a eu la gentillesse de tracer notre trajet sur une carte, au lieu de faire des longs discours (manque d'inspiration...), je vous laisse le soin de la consulter. L'une d'entre nous (pas de nom, ce serait de la délation!) nous avait avertis qu'elle avait grand besoin de s'aérer... Je peux vous assurer qu'elle a été bien servie et nous avec car il y avait, depuis le départ, des rafales de vent assez importantes et bien qu'il nous vienne du Sud (ou du S.O ou autre, il faut demander à Patrick!), il est particulièrement froid. Il nous gène un peu dans notre progression mais pas au point d' empêcher l'approche de l'Adartza où nous nous abritons derrière une barrière rocheuse pour manger notre en-cas. Pas de sieste, ça caille!!! et redescente vers notre point de départ.

Comme nous aimons bien savoir ce que nous avons fait, pour nous prouver, si besoin était, que nous sommes en forme, voici quelques chiffres : 800m de dénivelé cumulé, distance de marche : 9,80 km et durée : 4H.

En conclusion, c'était cool! merci à nos deux guides.

Katy.

Une crevaison et nous prenons une 1/2h de retard sur l'horaire!!!

Par une route très étroite, nous arrivons au col de Bosmendietta (940m), sous un soleil radieux (le temps gris et couvert était annoncé). Nous laissons les véhicules pour randonner de cayolars en cayolars, au dessus d'une mer de nuages et en contemplant des sommets pyrénéens enneigés.

Nous commençons par le cayolar de Beloscare(1085m) puis le sommet Beloscar(1173m), le cayolar Lehentchegeratia(1100m),et les crêtes et le cayolar de Mendikotziague (1107m). Rando non balisée, en montagnes russes, mais très agréable et en terrain variés: chemins, pierrailles, pâturages et sous-bois. Le retour, lui, sera bien balisé puisque nous retrouvons le GR10.

Le printemps s'annonce sur ces hauteurs, les fleurs sauvages: hellébores, dents de chien, violettes, hépatiques et gentianes fleurissent. 

Passant près d'un frêne de taille imposante rare pour cette espèce, Richard nous apprend que son bois servait pour la réalisation des colliers de chevaux et pour les attelages des bœufs car c'est un bois flexible. Il servait aussi pour les rayons des roues de charrues, le moyeu des roues était en chêne et le bandage en aulne.

Une belle promenade en très bonne compagnie et par un très beau temps! Que demander de plus? Francisco a pu prendre son bus pour Bayonne et chacun est rentré chez soi après s'être rafraîchi au bar de Tardets.

Merci à Richard

Marie Paule 

Après la rando-resto à Issarbe, nous avions prévu de nous retrouver à Esquiule et c'est chose faite ce jour. Du coup, on prend les mêmes (à quelques exceptions près) et on recommence... M.Paule, Carine et Jason nous ont rejoints et la famille Lépphaille... Cathy, Léa et Annie nous ont fait un petit coucou. Nous nous sommes élevés au-dessus des brumes matinales en suivant les autochtones vers Cambilhou. Fort heureusement, une légère éclaircie au sommet nous a permis, en regardant les tables d'orientation...ben, de nous orienter (!) car la vue de là-haut est superbe. Après une petite halte, boucle en retour vers Esquiule. Nous avons croisé en chemin la famille Lépphaille qui faisait le circuit en sens inverse.

8,5km et 3H30 plus tard, retour au parking et direction "Chez Chateau" car après l'effort, le réconfort! Nous nous sommes séparés, bien repus, avec d'autres projets rando-resto. Merci aux esquiulais et esquiulaises.

Katy.

Plantons d'abord le décor : comme le titre l'indique, nous sommes à Issarbe, la neige est là en abondance, la vue de là-haut, d'habitude très dégagée sur les villages de la Vallée de Barétous, les montagnes d'Ossau, d'Aspe, de Barétous et du Pays Basque est plutôt brumeuse donc voilée. Peu importe, nous suivons notre guide Alain et sa compagne Jocelyne (pas de brouillard sur Issarbe) sur les pentes du Pic d'Issarbe, passage par les crêtes, descente vers le Col de la Hourcère. Nous rejoignons tantôt les crêtes, tantôt la piste, passons à proximité de la cabane de La Serre. En ce jour, les rafales de vent sont particulièrement violentes et nous mettons à l'abri dans la cabane de Bénou pour manger nos casses-croûte. Nous reprenons la piste et bifurquons vers le Soum de Couret Plante. Le vent ne s'étant pas calmé, bien au contraire, nous redescendons vers la piste pour être à l'abri du vent et revenir au parking.

Ce sont donc 8,5km, 3H30 et 400m de dénivelé pour cette journée Ô combien vivifiante!!

Merci à Alain et Jocelyne et c'est avec plaisir que nous les reverrons dans nos contrées.

Katy.

Avant le départ,ce 1er février, nous avons appris que Bernadette avait terminé le plus dur chemin qu'elle ait eu à arpenter. Fini ses angoisses, fini ses souffrances, le 30 janvier, elle nous envoyait son "au revoir" par l'intermédiaire de Jojo, son mari, qui nous avait prévenu de l'aggravation de son état par ce message:

"Je crois que Bernadette pense aussi souvent à vous tous, les marcheurs. Sa route se rétrécit hélas. J'espère qu'après ces sombres sentiers hostiles et tortueux qu'elle ne peut ni arpenter, ni maîtriser...elle trouvera bientôt un paisible chemin de lumière qui la mènera à l'infini..."

Au revoir Bernadette

Temps clair mais venteux annoncé, nous ressortons les chaussures pour un balade de reprise(encore une)vers Ursuaya au départ de Macaye. Là haut nous avons une belle vue à 360° sur la chaîne des Pyrénées et la côte basque. Nous avons apprécié le fait de nous retrouver, de nous dégourdir les jambes sur 8 km et avons ainsi pris un bon bol d'air frais pendant 4 heures pour un dénivelé de 550m.

Marie Paule  

Pourquoi ne ferions-nous pas une rando à Issarbe suivie d'un repas au Grand Tétras (restaurant de la station)? Voilà une idée qui a très vite tracé son chemin et nos deux guides (Richard et Patrick) se sont occupés de mettre tout cela en bonne et due forme...C'est donc par une belle journée ensoleillée que nous nous sommes retrouvés avec dans le désordre : Jean, Sally, Pierre, Richard, Una, Anne-Marie, Edouard, Arnaud, Patrick, Mike, Alain et moi-même. Mais, pour se donner bonne conscience (si besoin était...) et nous ouvrir l'appétit nous partons depuis le parking direction le Pic d'Arbouty via la table d'orientation, le col de Hournères, et une bonne grimpette dans le bois. Retour par la piste et, pour certains d'entre nous, passage par le Pic d'Issarbe et les crêtes  pour une extraordinaire vue sur la Pierre St Martin, les monts d'Aspe et du Pays Basque.

Il est 12H, l'heure sacro-sainte de l'apéro et du passage à table!

Nous avons eu plaisir à nous retrouver et à partager ces moments. A renouveler...

Katy.

Nous avions déjà commenté cette sortie effectuée le 12 Juin de cette même année et je vous convie à aller revisiter notre blog.

Le départ s'est fait un peu différemment puisque à environ 1,5km de la base de loisir direction Louhossoa pour faire une boucle de 12,5kms. Quelques autres chiffres : départ à 210m, altitude mini : 170m, altitude maxi : 877m, dénivelé cumulé : 850m, durée : 5H.

Quelques photos pour illustrer mon (succinct) propos...

A très vite sur autres sentiers.

Katy.

C'est l'automne, donc une balade en forêt d'Iraty s'impose. Pour ce dimanche, direction le Lizardoia en Espagne, avec un jeune couple, tous 2 étudiants, Franscico est colombien,et Aintzida espagnole.

A Saint Jean le vieux, direction le chalet Pédro et montée vers les cabanes d'Egurgi (820m) à la borne frontière 225. départ à pieds, nous traversons à gué le ruisseau frontalier, et entrons dans la réserve intégrale de Lizardoia, dont l'altitude oscille entre 850 et 1125m. Elle présente un grand intérêt écologique car elle abrite des spécimens de hêtres et de sapins (arbres primaires d'Iraty) pouvant atteindre 40m de haut.

Nous avons le plaisir de randonner toute la journée dans les sous-bois qui ont revêtu leurs belles couleurs automnales. Par contre, c'est dimanche et la Toussaint approche, ce ne sont pas les couloirs du métro à Paris, mais il y a foule.

Nous ferons une boucle, montée tranquille dans le bois, un arrêt pour vérifier la carte, nous ne sommes pas au sommet, on continue, là, il y a un cairn, c'est le bon, descente vers l'est toujours dans les bois, jusqu'à la piste très fréquentée ce jour. un panneau indicatif, nous apprend que ces arbres si hauts et si rectilignes servaient à la fabrication des rames des galères puis des avirons: les artisans fabriquaient sur place une ébauche pour en réduire le poids.

Nous terminons en longeant le lac d'Irabia, d'un niveau très bas en cette fin d'été.

Beau temps, jolis paysages, et en fin de compte 14 km et 800m de dénivelés cumulés, une bonne rando!

Nous terminons par une autre boucle en voiture: retour par le col de Méhatzé, Estérençuby, Aintcille et Saint Jean le Vieux, pour montrer les cayolars à Franscisco

Merci à Richard et Patrick pour cette belle journée

Marie Paule

La précédente rando à l'Intxuriste nous avait permis de "reprendre contact", avec celle-ci, conduite par l'inépuisable Richard, nous avons profité d'un très beau temps mais également d'un très beau parcours. Nous sommes partis de la ferme Harruixea  (270m) à l'ouest de Bidarray dans la vallée d'Aritzacun. Nous empruntons le GR10 jusqu'au col d'Espalza (676m) et de là, nous dirigeons vers l'Artzamendy, but à l'origine de notre rando. Nous continuons donc sur le GR10 jusqu'au Col de Méhatxé (716m) et nous décidons finalement de grimper vers le mont Iguzki (844m), ayant déjà rendu visite à l'Artzamendy à différentes occasions. La vue de là-haut sur l'océan et toutes les villes côtières ainsi qu'à l'intérieur des terres nous permet de réviser un peu notre géographie. Petit arrêt pour grignoter, le vent est très présent, donc nous ne restons pas très longtemps. Il est 12H45, nous sommes montés pendant 2H30 et partons en direction des Peñas d'Itsusi via le col d'Artzatey, petite visite à la cascade de Sistogorri. Tout ceci en suivant le balisage jaune qui nous fait passer à côté des éperons rocheux "HLM" des vautours fauves très nombreux dans ces contrées. Nous retrouvons le GR10 qui nous ramène à la ferme Harruixea après 3H30 de descente. Au total : 10kms800 et 1012m de dénivelé cumulé.

Merci Richard pour ce beau temps (même si tu n'y est pour rien!) et surtout pour cette très agréable rando partagée.

Katy.

Après une petite période d'abstinence (façon de parler!) due à diverses raisons, Richard a décidé de nous amener à l'Intxuriste pour une première mise en jambes. Départ depuis Haux, passage par une piste balisée que nous laissons ensuite pour rejoindre le sommet par différents sentiers. L'approche du sommet, qui à priori n'est pas souvent visité, étant un peu difficile (fougères, ronces d'où mûres..) nous décidons de nous arrêter à son pied pour manger notre en-cas et profiter de la vue sur les monts environnants. Le retour se fait en boucle par montées et descentes pour rejoindre la piste laissée au départ. 693m de dénivelé, 4H de marche et 8 km de plaisir partagé.

A bientôt.

Katy.

Après le port de Larrau, nous roulons sur de la piste pendant 6 km pour arriver au point de départ, près du cayolar de Malta (1393m).  Montée sur des pentes herbeuses, vers les crêtes, par le vallon de Mulhédoy, vers Elhurrosoko Lépoa et la borne frontalière 242 (1650m). Le soleil est de la partie, le vent du nord aussi et... heureusement car il n'y a aucun point d'ombre lors de cette rando. A présent nous longeons les crêtes abruptes côté espagnol, et montons progressivement vers Ochogorritxipia (1794m) avant d'atteindre Otsogorrigagna (1923m).

La balade n'est pas terminée, il faut descendre vers Uthurourdinétako Portilloua (1664m), en direct pour aller plus vite vers le 2ème sommet. Etant sur l'autre versant nous percevons la raideur de la pente!!! Nous remonterons pour "vaincre" Chardekagania (1893m) en longeant une crête vertigineuse côté français.

Après une pose réconfort à l'abri du vent, nous retournons au col entre les 2 sommets et abordons la descente herbeuse, toujours aussi raide, par la vallée Alkhatechaya, et le cayolar d'Ardané.

Une belle boucle de 11km, 810m de dénivelé que nous avons réalisé en 5h.

Marie Paule

Temps couvert sur Sussaute et Mauléon, mais sans pluie, bruine sur Arette qui sera d'ailleurs, toujours d'actualité à notre retour!. Patrick, très féru de météo et d'internet nous assure qu'à Lescun il y a du soleil...OK, nous partons vérifier ses dires d'autant qu'il a décidé de nous amener vers le Pic de Burcq. Nous nous garons à Labrénère (1112m) où la brume est présente mais sans pluie  et...c'est déjà ça! Nous traversons le ruisseau pour suivre la piste, passer à proximité de la fontaine de Lamatché et quelques enclabures plus loin, nous prenons un sentier à gauche. Et là, divine surprise! le soleil est effectivement présent et nous le gardons toute la journée alors que la vallée est sous la mer de nuages. Après avoir suivi la lisière du bois, ce sont montées, passages sur les crêtes, descentes sur sentier et hors sentier à l'approche du Pic de Burcq. Pause casse-croûte à 1910m.

Le retour se fait en démarrant sur une descente relativement raide afin de rejoindre le sentier provenant du col de Pau et retour Labrénère ce qui sera fait après 2H de descente (3H de montée) 910m de dénivelé, 9,800km. Merci Patrick .

Katy.

Pour Patrick, c'était une piqûre de rappel (voir rando du 2 Août), pour Richard ce sera un "remake" de la rando du 19/10/14, donc nous voilà partis aux Gorges d'Ehujarre. Le départ se fait de Sainte Engrâce et nous nous garons à Etchebarnia. Un petit peu de bitume plus loin, nous nous engageons dans les gorges, panneau directionnel oblige. L'air est doux et chargé d'humidité, la végétation luxuriante et contrairement à la fois précédente, le torrent que nous traversons tantôt rive gauche, tantôt rive droite est fourni en eau. Le sentier très bien balisé et varié nous amène à passer devant la grotte de Molerse avec un aperçu des hautes parois calcaires nous surplombant. On se sent touts petits au fond du cañon! Passage un peu délicat près de la cascade l'Erreka Beltza et son   filet d'eau et peu après, nous débouchons sur le plateau d'Errayze. Cela fait 3H que nous marchons, le vent est plutôt "frisquet" et nous faisons une pause pour nous sustenter.

En arrivant sur le plateau, nous avions laissé sur notre gauche, la direction d'Utzigagna, donc, après notre pause, nous partons vers Ganaguerre en passant au-dessus des gorges. Traversée du Col de Sagarteko Lepoua qui nous permet de rejoindre le Vallon d'Eruso et le sentier à flanc, à priori pas beaucoup utilisé. Petite montée pour rendre visite au cayolar de Ganaguerre sur un sentier à peine détectable, au milieu des fougères et des myrtilles (récompense...). Nous redescendons pour retrouver le sentier et ce sera une progression dans la "savane" (enfin, celle de la Haute Soule!) dans les fougères plus hautes que nous, pour descendre dans un bois, longer une clôture, traverser un pré et enfin rejoindre le bitume et les voitures! C'était une belle et longue rando (15,5Kms, 1225m de dénivelé cumulé, 7H de marche effective).

Merci à toi Richard et à plus tout le monde.

Katy.

Pic des Tourelles, le samedi 13 Août 2016

                                                                                                                   avec Monique, Richard et Patrick.

 Nous sommes partis plus d'une fois du col de Bouésou vers la cabane d'Ichéus puis la cabane de Camplong, Cette fois, l'objectif était le Pic des Tourelles et, pour rester dans des dénivelées acceptables, nous sommes partis du col de Catazar, à 1220 m, ce qui nous a fait gagner environ 200 m.

 La montée vers la cabane d'Ichéus commence dans un bois, un peu raide, mais sans difficulté, suivi d'un grand plateau avec des bosquets de pins et de petits groupes de chevaux. A partir de la cabane, aucun sentier n'est marqué sur la carte IGN, et pourtant il y en a, et même plusieurs, convergeant tous vers le pic, et parsemés de cairns, Nous progressons au milieu des roches calcaires et longeons la crête des Tourelles vers le sud, avec parfois une vue plongeante côté ouest sur le chemin que nous prendrons en retour, 200 m plus bas. Nous arrivons au pic, à 2040 m, après un peu plus de 3h de marche. Reste à admirer les Orgues de Camplong en enfilade sur notre gauche, avec le cirque de Lescun où nous étions il y a 10 jours, et notamment le pic d'Anie en face de nous, avec encore quelques névés. Nous repérons un arbre pour casse-croûter à l'ombre.

La descente démarre vers l'ouest et le col d'Azun, puis cap au nord. Nous descendons avec la crête des Tourelles à notre droite, 200 m plus haut; vers 1550 m, nous entrons dans un bois puis nous interceptons le sentier qui relie la cabane de Camplong et la cabane d'Ichéus où nous nous arrêtons quelques minutes, avant de continuer la descente par le même chemin que ce matin et rejoindre le col de Catazar et la voiture. Au total, 1000 m de dénivelée et 6h de marche, contents de l'avoir fait, et contents d'être arrivés.

Patrick

Après avoir consulté les archives du blog (Revue de balades-1), Patrick a décidé qu'il était temps de refaire cette boucle en Vallée d'Aspe. Je vais donc reprendre la même description du circuit qu'à l'époque : départ Pont Lamary (1171m), passage aux cabanes d'Ansabère (1565m), progression vers le Lac d'Ansabère (1859m) que nous atteignons en un peu moins de 2H. Petite pause puis nous prenons le sentier passant au-dessus du lac et nous amenant vers la crête frontière (2032m) puis son point culminant (2054m) surplombant le Lac d'Achérito côté espagnol. Cela fait 3H que nous marchons et nous en profitons pour nous arrêter et nous restaurer. Un peu plus tard, Patrick et Caty B. partent en reconnaissance afin de situer la brèche nous permettant de faire la boucle et d'éviter la "fameuse raillère" qui ne fait pas partie de mes meilleurs souvenirs de rando!!. Mission accomplie...nous les rejoignons en prenant la sente, dans les éboulis, au Nord-Est du lac Achérito. Certes, le passage est plus aisé, mais la descente vers le vallon de Pourziu dans les éboulis...bof!bof!. Nous continuons par le Vallon de Lazerque et retour au Pont Lamary. Quelques chiffres : 6H30 de marche effective, 1090m de dénivelé, 12 kms. En conclusion, une journée bien remplie complétée par quelques rafraichissements au Permayou et...les excellents canelés de Caty. Merci très beaucoup à elle mais aussi à Patrick pour cette petite piqûre de rappel...qui me permet, personnellement, d'être à jour de mes vaccins!!

A bientôt.

Katy.

Sur mon dernier compte-rendu, je vous parlais du temps trop souvent trop moche, ben, c'était le cas pour cette sortie! C'est donc sous un "brumisateur" géant puisqu'il couvrait tous les monts et la vallée que nous sommes partis des chalets d'Iraty vers le Col de Barbagiak, passage par la crête d'Orgambideska, Col de Méhatzé, Lapatignegagne et la cabane de chasse. Tout ceci s'est déroulé dans le brouillard et de ce fait, les photos ne représentent que les "autochtones" rencontrés lors de cet Aller/Retour, qui, il faut bien l'avouer, s'est réalisé un peu à "tatons"! Mais, pas de problèmes, nous sommes revenus à bon port après 3h30 de marche, 9 Kms et 540m de dénivelé et comme malgré tout, nous sommes en Juillet (hé,oui) cette rando s'est avérée des plus vivifiantes... Merci Richard et à très vite pour de nouvelles aventures estivales.

Katy.

Cela ne vous aura pas échappé, des fois il fait beau et très chaud et trop de fois, il fait moche. Aujourd'hui, il faisait très beau et du coup, Richard nous a conviées (M.Paule, Monique et moi) à faire une "petite balade" de 700m de dénivelé cumulé et de 5H de marche effective...une broutille quoi!!! Nous sommes partis du parking situé au-dessus de la chapelle de Houndas et de là, nous avons rejoint les cromlechs à Lou Couraus. Petit arrêt pour en prendre connaissance, admirer le paysage vers la vallée mais aussi une hutte faite de rondins et branches...pas d'époque! Nous reprenons notre marche direction Bersaut premier but de notre sortie. Petit passage dans le bois puis ensuite progression sur le sentier nous amenant au col d'Ezau d'où nous apercevons le Soum de Counée et le Pic Bersaut. Nous allons à moment donné, quitter ce sentier pour nous diriger vers le cayolar de Lazercou où nous faisons une petite halte puisqu'il sert de refuge (le lit couine un peu...mais comme nous ne restons pas...). A partir de là, pas de balisage mais notre "jefe" du jour nous amène sans encombres au sommet du Pic Bersaut. En face de nous, se trouve le Soum de Counée d'où descente dans le vallon et remontée vers lui. Il fait très chaud mais une petite brise nous incite à nous poser pour manger et profiter du paysage à 360°. Voili, voilou, nous repartons de là en rejoignant le sentier de l'aller et retrouvons la voiture après 2H de descente.

Merci Richard de nous avoir guidées et à très vite pour d'autres "balades".

Katy.

En ce jeudi, le temps est prévu beau et à priori, nous pouvons nous fier (pour une fois) à Dame Météo et après délibération interne avec lui-même, Patrick a décidé de nous amener au Mont Urkulu (1419m). Celui-ci est situé sur la frontière franco-espagnole, entre St Michel au Nord et Orbaïtzeta en Navarre au sud. Nous avons suivi la D 428, passé à proximité de l'Hôtel des sources de la Nive à Estérençuby et continué environ 2km (plus ou moins!) avant de nous garer. Passage par le bois d'Orion, par la piste? Que nenni!, Patrick a du décider que nous devions nous échauffer en montant tout schuss...ça y est, nous sommes chauds en arrivant aux cabanes de Minassaro! Quelques montées et descentes plus loin, nous allons rendre visite à la cabane de Leizehandy. A partir de là, encore quelques montées pour arriver au mont Urkulu puis à la Tour Romaine après 3H30 de marche et 700m de dénivelé. Cette tour haute de 3,60m a un diamètre de 19,50m. Elle serait un trophée romain peut être destiné à commémorer le triomphe de M.Valerius Messala Corvinus sur l'Aquitaine en 17 avant J.C. La descente en boucle par le Col d'Arnostéguy se fait en 2H et au total, nous avons marché 11,5km.

Merci encore à Patrick pour son topo et de nous avoir fait découvrir une fois de plus, une approche originale de notre objectif. .. un vrai"jefe"!

Katy.

Aujourd'hui, le beau temps est annoncé, et, il est bien au rendez-vous.

Nous laissons les voitures au-dessus d'Urepel , au col de Korrota. Quelques centaines de mètres en France, puis le bitume fait place aux cailloux, nous sommes en Espagne!

l'Ahadi est en point de mire, bien dégagé. Au col d'Ichterbegui, petite pose déshabillage. La montée est tranquille au début entre bois et prairie, mais en suivant la clôture, après le col d'Adatun, les choses sérieuses s'annoncent: la montée est raide. Malheureusement, plus on monte plus le ciel se couvre, nous entrons dans les nuages et un vent glacial se lève. Bien couverts, nous continuons et, par chance, au sommet de très petites éclaircies nous permettent de découvrir la ville de Pampelune. Inutile de préciser que nous ne nous attardons pas et entamons la descente par un autre versant, où nous laissons paître chevaux et brebis.

Nous sommes le long de la frontière et les blockhaus, vestiges de la guerre, jalonnent la descente, Ils sont bien camouflés à l'extérieur (recouvert de végétation)  mais la position debout est confortable à l'intérieur. 

Lors du pique-nique, près des cromlechs, nous constatons que le sommet de l'Ahadi est dégagé.

Nous continuons la descente en espérant faire une boucle pour voir un cayolar avec une cheminée de compétition et une belle installation permettant de réchauffer l'eau de pluie collectée. Nous avons vu la cabane, mais, les fougères ont envahi le chemin de la boucle, nous remontons donc pour retrouver celui emprunté à l'aller. Nous terminons cette belle balade sous le soleil! Au total: 914m de dénivellé et 5h de marche;

Merci à Patrick de nous l'avoir fait découvrir ces beaux coins d'Espagne et un autre merci à Mariano qui l'avait bien décrite sur Google!

Marie Paule

1. Nous sommes optimistes: la météo annonce des averses, pourquoi tomberaient-elles sur notre destination?

Pour arriver au point de départ, c'est déjà un gym-kana sur cette piste où le ruissellement a creusé des ornières impressionnantes mais, nous ne rebrousserons pas chemin! Le temps se maintient nous démarrons: sous bois, prairies, le paysage est varié, le chemin aussi: cailloux, et terre mais aussi pas mal de boue et quelques belles ornières, ici, aussi. Bref après une ascension de 500m nous capitulons car un brouillard épais nous entoure. Descente en vêtements de pluie et bien sûr en arrivant en bas, il ne pleut plus!!! ce qui nous permettra de pique-niquer, en bord de route, dans un joli endroit prévu à cet effet.

Nous avons pris un bon bol d'air,juste un peu moins long que prévu!!!

Marie Paule